Louis-François du Parc, marquis de Locmaria, qui fut lieutenant général des armées du roi, et mourut en 1709.
SÉVIGNÉ, Lettres (5 et 12 août 1671), t. II, p. 171 et 183, édit. G.; t. II, p. 142 et 152, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (5 juillet, 12 août, 13 septembre 1671), t. II, p. 127, 183, 223, édit. G.; t. II, p. 105, 152 et 187, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (16 août 1671), t. II, p. 187, édit. G.; t. II, p. 156, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (30 août 1671), t. II, p. 208, édit. G.
SÉVIGNÉ, Lettres (1 erjuillet 1671), t. II, p. 121, édit. G.; t. II, p. 101, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (12 août 1671), t. II, p. 182, édit. G.; t. II, p. 151, édit. M.
Il était lieutenant général aux huit évêchés et commissaire du roi aux états, le second après le duc de Chaulnes, gouverneur. (Conférez le Registre des états de Bretagne , de 1629 à 1723, Mss. de la Bibliothèque royale, n o75, p. 309 recto.)
Le marquis de Coëtlogon était aussi un des commissaires du roi aux états, et non député. ( Registre des états de Bretagne. )
Un des messieurs d'Argouges, président au parlement, était commissaire du roi aux états, et non député. (Voyez Recueil de la tenue des états de Bretagne , Mss. de la Bibliothèque du Roi, Bl.-Mant., n o75, p. 339.)
SÉVIGNÉ, Lettres (16 août 1671), t. II, p. 187, édit. G.; t. II, p. 155, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (30 août 1671), t. II, p. 210, édit. G.; t. II, p. 175, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (28 octobre 1671), t. II, p. 274, édit. G.; t. II, p. 232, édit. M.
Recueil de la tenue des états de Bretagne , de 1629 à 1723, Mss. Bl.-M., n o75 (Bibliothèque royale), p. 339.
SÉVIGNÉ, Lettres (24 et 29 septembre, 16, 20, 26 et 30 octobre, 24 novembre 1675.)
Recueil de la tenue des états de Bretagne dans diverses villes de cette province , de 1629 à 1723, Mss. de la Bibliothèque du Roi, Bl.-Mant., n o75.
Recueil de la tenue des états de Bretagne , de 1629 à 1723, Mss. Bl.-Mant. (Bibliothèque royale), p. 352-355.
SÉVIGNÉ, Lettres (6 septembre 1671), t. II, p. 216, édit. G.; t. II, p. 181, édit. M.
Allusion à un dialogue de Lucien, intitulé Caron ou les contemplateurs , que madame de Sévigné avait lu dans la traduction de Perrot d'Ablancourt, t. I er, p. 191; Paris, 1660. Conférez à ce sujet la note de M. Monmerqué, dans son édition des Lettres de Sévigné , t. II, p. 181. Madame de Sévigné répète encore ce même mot dans la lettre du 24 septembre 1675.
Dans la commune de Gevezé, près de Rennes.
Madame de Sévigné et sa correspondance ; 1838, in-8 o, p. 58.
Lettre inédite du marquis DE SÉVIGNÉ à la marquise de Grignan sa sœur, sur les affaires de leur maison , publiée par M. MONMERQUÉ, 1847, in-8 o(24 pages), p. 21.
Madame DE SÉVIGNÉ et sa correspondance relative à Vitré et aux Rochers , par LOUIS DUBOIS, sous-préfet de Vitré, 1838. Paris, in-8 o, p. 70.
SÉVIGNÉ, Lettres (6 septembre 1671), t. II, p. 216, édit. G.; t. II, p. 181, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (26 août 1671), t. II, p. 203, édit. G.; t. II, p. 169, édit. M.
Ibid. (10 juin 1671), t. II, p. 95, édit. G.; t. II, p. 79, édit. M.
Ibid. (5 août 1671), t. II, p. 172, édit. G.; t. II, p. 152, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (5 juillet 1671), t. II, p. 125, édit. G.; t. II, p. 104, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (24 juin 1671). (Cette lettre est datée du coin de son feu), t. II, p. 107, édit. G.
SÉVIGNÉ, Lettres (8, 12, 19, 22 et 22 bis juillet 1671), t. II, p. 131, 138, 146, 152, édit. G.; t. II, p. 109, 115, 126, édit. M.— Ibid. (4 novembre 1671), t. II, p. 281, édit. G.
SÉVIGNÉ, Lettres (8, 12, 19 et 22 juillet, et 4 novembre 1671), t. II, p. 131, 138, 146, 152, 281, édit. G.— Ibid. , t. II, p. 109, 115, 126, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (26 juillet 1671), t. II, p. 160, édit. G.
SÉVIGNÉ, Lettres (18 février 1689), t. VIII, p. 321, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (13 décembre 1679), t. II, p. 65, édit. M.—(27 mai et 19 juin 1680), t. II, p. 289 et 325.
SÉVIGNÉ, Lettres (8 juillet, 18 et 23 novembre 1689), t. IX, p. 25, 216 et 224, édit. M. Lettre inédite du marquis DE SÉVIGNÉ (27 septembre 1696).
L'histoire de sa vie et ses lettres nous signalent sa présence aux Rochers en 1644, 1646, 1651, 1654, 1661, 1666, 1667, 1671, 1675, 1676, 1680, 1684, 1685, 1689, 1690; et probablement elle y alla encore dans plusieurs autres années, sur lesquelles nous n'avons aucun renseignement.
SÉVIGNÉ, Lettres (15 décembre 1675), t. IV, p. 124, édit. M.; t. IV, p. 248, édit. G.—(20 octobre 1675), t. IV, p. 164, édit. G.; t. IV, p. 49, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (31 mai 1680), p. 8, édit. G,; t. VI, p. 295, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (31 juillet 1680), t. VII, p. 142, édit. G.; t. VI, p. 401, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (8 septembre 1680), t. VII, p. 409, édit. G.; t. VI, p. 451, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (29 sept. 1680), t. VII, p. 236, édit. G.; t. VII, p. 8, édit. M. Le nom était bien choisi pour exprimer le peu d'importance et la grossièreté de ces fabriques. Voici comme Furetière définit ce mot dans son Dictionnaire des Sciences et des Arts , 1696, p. 79, in-folio: «BRANDEBOURG, s. f., sorte de grosse casaque, dont on s'est servi en France dans ces dernières années. Elle a des manches bien plus longues que les bras, et va environ jusqu'à mi-jambe.» Richelet, dans son Dictionnaire (1680), fait de brandebourg un substantif masculin, et dit que c'est un vêtement qui tient de la casaque et du manteau, qu'on porte en hiver et dans le mauvais temps.
SÉVIGNÉ, Lettres (1 erjuin 1689), t. IX, p. 318, édit. G.; t. VIII, p. 480, édit. M.—(17 juin 1685), t. VIII, p. 64, édit. G.; t. VII, p. 283, édit. M.—(25 mai 1689), t. IX, p. 313, édit. G.; t. VIII, p. 476, édit. M.
SÉVIGNÉ, Lettres (20 septembre 1695), t. XI, p. 121, édit. G. Conférez la 2 epartie de ces Mémoires , p. 127, t. X, p. 135, édit. M.—(20 mai 1667), t. I, p. 158, édit. G.; t. I, p. 113, édit. M.
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