Jakob et Wilhelm Grimm - Contes Merveilleux Tome II

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– C’est pour mieux te voir!

Oh grandmère comme tu as de grandes mains Cest pour mieux tétreindre - фото 10

– Oh! grand-mère, comme tu as de grandes mains!

– C’est pour mieux t’étreindre…

– Mais, grand-mère, comme tu as une horrible et grande bouche!

– C’est pour mieux te manger!

À peine le Loup eut-il prononcé ces mots, qu’il bondit hors du lit et avala le pauvre Petit Chaperon rouge.

Lorsque le Loup eut apaisé sa faim, il se recoucha, s’endormit et commença à ronfler bruyamment. Un chasseur passait justement devant la maison. Il se dit: «Comme cette vieille femme ronfle! Il faut que je voie si elle a besoin de quelque chose.» Il entre dans la chambre et quand il arrive devant le lit, il voit que c’est un Loup qui y est couché.

Ah cest toi bandit ditil Voilà bien longtemps que je te cherche Il se - фото 11

– Ah! c’est toi, bandit! dit-il. Voilà bien longtemps que je te cherche…

Il se prépare à faire feu lorsque tout à coup l’idée lui vient que le Loup pourrait bien avoir avalé la grand-mère et qu’il serait peut-être encore possible de la sauver. Il ne tire pas, mais prend des ciseaux et commence à ouvrir le ventre du Loup endormi. À peine avait-il donné quelques coups de ciseaux qu’il aperçoit le Chaperon rouge. Quelques coups encore et la voilà qui sort du Loup et dit:

– Ah! comme j’ai eu peur! Comme il faisait sombre dans le ventre du Loup!

Et voilà que la grand-mère sort à son tour, pouvant à peine respirer. Le Petit Chaperon rouge se hâte de chercher de grosses pierres. Ils en remplissent le ventre du Loup. Lorsque celui-ci se réveilla, il voulut s’enfuir. Mais les pierres étaient si lourdes qu’il s’écrasa par terre et mourut.

Ils étaient bien contents tous les trois: le chasseur dépouilla le Loup et l’emporta chez lui. La grand-mère mangea le gâteau et but le vin que le Petit Chaperon rouge avait apportés. Elle s’en trouva toute ragaillardie. Le Petit Chaperon rouge cependant pensait: «Je ne quitterai plus jamais mon chemin pour aller me promener dans la forêt, quand ma maman me l’aura interdit.»

Le Petit pou et la petite puce

Le petit pou et la petite puce vivaient ensemble, tenaient ensemble leur petite maison et brassaient leur bière dans une coquille d’œuf.

Un jour le petit pou tomba dans la bière et s’ébouillanta. La petite puce se mit à pleurer à chaudes larmes. La petite porte de la salle s’étonna:

– Pourquoi pleures-tu ainsi, petite puce?

– Parce que le pou s’est ébouillanté.

La petite porte se mit à grincer et le petit balai dans le coin demanda:

– Pourquoi grinces-tu ainsi, petite porte?

– Comment pourrais-je ne pas grincer!

Le petit pou s’est ébouillanté, la petite puce en perd la santé.

Le petit balai se mit à s’agiter de tous côtés. Une petite charrette qui passait par là, cria:

– Pourquoi t’agites-tu ainsi, petit balai?

– Comment pourrais-je rester en place!

Le petit pou s’est ébouillanté, la petite puce en perd la santé, et la petite porte grince à qui mieux mieux.

Et la petite charrette dit:

– Moi, je vais rouler. Et elle se mit à rouler à toute vitesse. Elle passa par le dépotoir et les balayures lui demandèrent:

– Pourquoi fonces-tu ainsi, petite charrette?

– Comment pourrais-je ne pas foncer!

Le petit pou s’est ébouillanté, la petite puce en perd la santé, la petite porte grince à qui mieux mieux, le balai s’agite, sauve-qui-peut!

Les balayures décidèrent alors:

– Nous allons brûler de toutes nos forces.

Et elles s’enflammèrent aussitôt. Le petit arbre à côté du dépotoir demanda:

– Allons, balayures, pourquoi brûlez-vous ainsi?

– Comment pourrions-nous ne pas brûler!

Le petit pou s’est ébouillanté, la petite puce en perd la santé, la petite porte grince à qui mieux mieux, le balai s’agite, sauve-qui-peut! La charrette fonce fendant les airs.

Et le petit arbre dit:

– Alors moi, je vais trembler.

Et il se mit à trembler à en perdre toutes ses feuilles. Une petite fille, qui passait par là avec une cruche d’eau à la main, s’étonna:

– Pourquoi trembles-tu ainsi, petit arbre?

– Comment pourrais-je ne pas trembler!

Le petit pou s’est ébouillanté, la petite puce en perd la santé, la petite porte grince à qui mieux mieux, le balai s’agite, sauve-qui-peut! la charrette fonce fendant les airs, les balayures brûlent en un feu d’enfer.

Et la petite fille dit:

– Alors moi, je vais casser ma cruche. Et elle la cassa.

La petite source d’où jaillissait l’eau, demanda:

– Pourquoi casses-tu ta cruche, petite fille?

– Comment pourrais-je ne pas la casser!

Le petit pou s’est ébouillanté, la petite puce en perd la santé, la porte grince à qui mieux mieux, le balai s’agite, sauve-qui-peut! la charrette fonce fendant les airs, les balayures brûlent en un feu d’enfer. Et le petit arbre, le pauvre, du pied à la tête il tremble.

– Ah bon, dit la petite source, alors moi, Je vais déborder.

Et elle se mit à déborder; et l’eau inonda tout en noyant la petite fille, le petit arbre, les balayures, la charrette, le petit balai, la petite porte, la petite puce et le petit pou, tous autant qu’ils étaient.

Le Petit vieux rajeuni par le feu

Du temps que le Seigneur cheminait encore sur la terre, Il entra un soir chez un forgeron, avec saint Pierre, demandant accueil pour la nuit. Le brave forgeron les reçut de bon cœur, et voilà qu’un peu plus tard un pauvre mendiant, tout rétréci par l’âge et courbé par les maux, frappa à la porte de la même maison et demanda l’aumône. Apitoyé, saint Pierre fit une prière:«Mon Seigneur et mon Maître, s’il vous plaît, guérissez-le de son tourment, afin qu’il soit capable de se gagner son pain!»

– Forgeron, dit le Seigneur débonnaire, allume-moi ta forge et chauffe-la-moi à blanc: je vais y rajeunir tout de suite ce pauvre vieil homme souffrant. Le forgeron s’y prêta de bonne grâce et saint Pierre fit marcher le soufflet, poussant le feu au rouge-blanc. Quand le brasier fut bien ardent, le Seigneur saisit le petit vieux et le jeta dans la forge, au beau milieu du foyer incandescent, où il flamboya soudain comme un rosier flamboyant, tout en louant Dieu à haute et pleine voix. Ensuite, le Seigneur le tira du feu pour le précipiter dans le grand bac de forge, où le petit vieux tout incandescent s’éteignit en faisant siffler l’eau; puis, quand il fut suffisamment rafraîchi et trempé convenablement, le Seigneur lui donna Sa bénédiction et le petit homme sortit de là d’un bond, tout gaillard, souple, droit, vif et alerte comme à vingt ans. Le forgeron, qui avait suivi toute l’opération avec une attention précise et soutenue, les invita tous à dîner. Or, il avait dans sa maison une vieille belle-mère toute tordue par l’âge et à demi aveugle, qui s’approcha du nouveau jeune homme pour s’informer gravement et apprendre si le feu l’avait douloureusement brûlé.

– Mais pas du tout! répondit avec pétulance le nouveau jeune homme. Jamais je ne me suis senti aussi bien: j’y étais comme dans un bain de rosée. Ce que ce petit jeune homme lui avait dit résonna dans les oreilles de la vieille femme toute la nuit. Le lendemain matin, de bonne heure, dès que le Seigneur fut reparti sur son chemin, le forgeron se dit, après mûre réflexion, qu’il pourrait aussi rajeunir sa belle-mère de la même façon, car il avait bien observé et attentivement suivi tous les détails de l’opération et, somme toute, cela relevait également de son art. Aussi, lorsqu’il lui demanda tout à trac si elle n’aimerait pas aller et venir dans la maison en sautant comme une fille de dix-huit ans, la vieille femme lui répondit-elle que ce serait avec plaisir, puisque la chose avait été si douce et délicieuse au jeune homme de la veille. Le forgeron activa donc le feu de sa forge et y jeta la vieille quand il fut bien ardent; mais voilà qu’elle se tordit dans tous les sens en poussant des cris affreux. «Du calme! lui cria-t-il. Qu’as-tu donc à t’agiter comme cela et à hurler comme une pendue? Il faut d’abord que je te fasse un feu vigoureux!» Il se mit au soufflet et activa le brasier de plus belle, si bien que tout brûla sur la pauvre vieille femme, qui hurlait à la mort sans discontinuer. «Mon métier n’est pas suffisant!», pensa le forgeron en la retirant bien vite du foyer pour la plonger dans l’eau du bac à trempe, où la malheureuse se mit à hurler encore plus fort qu’avant, si fort et si désespérément que ses cris ameutèrent là-haut, à l’étage, la femme et la bru du forgeron. Toutes les deux descendent les marches quatre à quatre, et que voient-elles? L’aïeule qui piaule et miaule lugubrement, plongée dans le bac de forge, le corps tout racorni, le visage atrocement déformé, tordu, ratatiné. Le spectacle était si horrible et les deux femmes, qui étaient enceintes l’une et l’autre, en reçurent un tel choc, qu’elles accouchèrent toutes les deux dans la nuit même, et que leurs deux enfants ne furent pas conformés comme des humains, mais comme de petits singes, qui s’en allèrent courir dans la forêt. Ce sont eux qui ont commencé la famille et donné origine à l’espèce des singes.

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