Jack Mars - Le Leurre Zéro

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“Vous ne trouverez pas le sommeil tant que vous n’aurez pas terminé L’AGENT ZÉRO. L’auteur a fait un magnifique travail en créant un ensemble de personnages à la fois très développé et vraiment plaisant à suivre. La description des scènes d’action nous transporte dans une réalité telle que l’on aurait presque l’impression d’être assis dans une salle de cinéma équipée du son surround et de la 3D (cela ferait d’ailleurs un super film hollywoodien). Il me tarde de découvrir la suite.”. –Roberto Mattos, auteur du blog Books and Movie Reviews. LE LEURRE ZÉRO est le volume #8 de la série best-seller L’AGENT ZÉRO qui débute par L’AGENT ZÉRO (Volume #1), téléchargeable gratuitement, avec près de 200 avis cinq étoiles… Un nouveau canon électrique high-tech est inventé, capable de tirer un missile indéfendable à sept fois la vitesse du son… et le destin des États-Unis est en jeu. Quelle est sa cible ? Et qui se cache derrière son lancement? Dans une course folle contre le temps, l’Agent Zéro devra utiliser toutes ses compétences pour retrouver la source de cette arme inarrêtable et découvrir sa destination avant qu’il ne soit trop tard. . Or, en même temps, Zéro apprend une nouvelle choquante sur le développement de son état mental qui pourrait bien le mettre définitivement sur la touche. Pourra-t-il sauver le monde… et pourra-t-il se sauver lui-même? LE LEURRE ZÉRO (Volume #8) est un thriller d’espionnage que vous n’arriverez pas à reposer une fois que vous l’aurez commencé. Il vous tiendra éveillé, à tourner ses pages, jusque tard dans la nuit. . “Une écriture qui élève le thriller à son plus haut niveau.”. –Midwest Book Review (à propos de Tous Les Moyens Nécessaires). “L’un des meilleurs thrillers que j’ai lus cette année.”. –Books and Movie Reviews (à propos de Tous Les Moyens Nécessaires). Jack Mars est également l’auteur de la série best-seller de thrillers LUKE STONE (7 volumes), qui commence par Tous Les Moyens Nécessaires (Volume #1), téléchargeable gratuitement, avec plus de 800 avis cinq étoiles !

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Elle détestait mentir à Zéro. C’était ainsi qu’elle l’appelait désormais, Zéro. Le mois dernier, il lui avait demandé de ne plus l’appeler Kent. De toute façon, personne n’utilisait plus son ancien alias de la CIA pour faire référence à lui ; il n’était plus réellement Kent Steele. De même que toutes les personnes qui étaient régulièrement en contact avec lui ne l’appelaient plus par son nom réel, Reid Lawson. Il était tout simplement l’agent Zéro. Même le président l’appelait Zéro et Maria en faisait autant.

“De la paperasse” n’était pas, techniquement, un mensonge se rappela-t-elle. C’était leur code pour : “C’est un secret et je préférerais que tu ne me poses aucune question.” En fait, pas plus tôt que la semaine dernière, lorsqu’il avait dit aux filles qu’il se rendait en Californie, Zéro l’avait informée qu’il devait s’occuper “ de la paperasse .”

Elle ne posa donc aucune question. Bien sûr, elle s’était amusée à l’embêter avec ça ce matin, mais ce n’était pas sérieux. Et puis, qu’était-elle supposée lui dire ? Ces derniers mois, je rendais visite à un meurtrier, prisonnier de la CIA et je suis gênée de devoir l’admettre.

Bien sûr que non. Impossible.

La cellule faisait trois mètres cinquante par trois mètres cinquante avec un sol et un plafond en béton et, au lieu des traditionnels murs à barreaux, se dressaient des vitres en verre renforcé de cinq centimètres d’épaisseur. Sur le côté, faisant face au couloir, se trouvait une grille avec des trous d’un centimètre et demi permettant ainsi de communiquer avec le détenu. Il n’y avait aucune fenêtre, mais le pire était l’absence manifeste de porte. Maria ne savait même pas de quelle façon on pouvait accéder à la cellule ; un panneau caché dans l’une des façades vitrées très probablement, mais rien ne le laissait paraître. C’était une manœuvre psychologique afin de faire comprendre au prisonnier qu’il n’y avait aucune échappatoire possible.

Le cœur de Maria se serrait chaque fois un peu plus à la vue de cette vitre. Bien qu’il n’y ait personne d’autre ici, et probablement dans tout l’étage excepté Ben le gardien, elle n’autorisait aucune intimité. À l’intérieur se trouvait un petit lit pourvu d’une couverture et d’un oreiller, un petit espace salle de bain qui se résumait à un évier, des toilettes et un pommeau de douche ; le tout parfaitement ouvert, parfaitement exposé, et une simple chaise en acier fixée au sol.

Aujourd’hui, l’occupant de la cellule était assis en tailleur sur le sol froid en ciment au centre de la pièce, l’espace le plus dégagé de leur minuscule habitat. Sûrement, se disait Maria, pour leur donner l’illusion d’espace.

« Bonjour », dit Maria. Elle devait parler un peu plus fort qu’à l’accoutumée afin que la jeune fille puisse l’entendre, et cela malgré les trous de la vitre.

« Salut », répondit Mischa, ne prenant pas la peine de se retourner pour la regarder, du moins, pas au début. Mais c’était ainsi qu’elle fonctionnait, ainsi qu’elle l’avait toujours fait depuis que Maria avait commencé à lui rendre visite. Elle gardait ses distances, au moins pour un petit moment, non pour se jouer d’elle mais plutôt pour s’acclimater.

La fille d’une douzaine d’années avait des cheveux blonds et des yeux verts. Maria la trouvait plutôt jolie, même si l’absence d’expression rendait ses traits plus fades. Elle portait une simple blouse bleue en coton-polyester telle une infirmière du service des urgences, sans poche ni fermeture éclair ou quoi que ce soit qui fut en métal. Ses pieds étaient nus. Elle était habituellement maussade, peu causante, et pouvait tuer un homme faisant trois fois sa taille avec très peu d’effort. La dernière fois que Maria l’avait vue autrement que séparée d’elle par deux centimètres de verre, elle avait effectivement tenté de les tuer, elle et Zéro.

« Je t’ai apporté quelque chose », dit Maria en Russe. Elle ne savait pas exactement quelle était la nationalité de la jeune fille mais son Anglais était parfait et sans le moindre accent. Après de nombreuses visites, elle avait découvert que la jeune fille maîtrisait également à la perfection le Russe, l’Ukrainien, et le Chinois.

Au niveau du coude de Maria se trouvait une petite trappe rectangulaire dans le verre surmontée d’une poignée. Elle s’en saisit pour l’ouvrir et y déposa le croissant qu’elle avait pris un peu plus tôt dans l’appartement de Zéro. L’ouverture de l’autre côté, celui de Mischa, avait été conçue de telle sorte qu’il était impossible d’ouvrir les deux au même moment – non pas que cela ait une grande importance. La fille ne touchait jamais la nourriture que lui apportait Maria tant que celle-ci n’était pas partie.

« Il devrait être encore chaud, ajouta-t-elle.

– “ Spasiba ,” répondit Mischa, presque trop bas pour être entendue. Merci.

– Est-ce qu’ils te nourrissent suffisamment ? »

La fille haussa très légèrement les épaules.

Maria ferma les yeux pendant un moment afin de stopper le flot de larmes qui menaçait de déborder. Elle ne savait pas pourquoi l’émotion la submergeait à chaque fois qu’elle venait lui rendre visite, mais à chacune de leurs rencontres elle ressentait au moins une fois une vague de tristesse l’envahir à la vue de cette fille, si jeune et seule, dans cette cellule souterraine.

Mischa avait fait partie du groupe de Chinois détenant l’arme à ultrasons. Son contact, un ancien agent des services de renseignements russes, du nom de Samara, avait fait défection pour s’allier aux Chinois dans un projet d’attaque terroriste sur le sol américain, censé ressembler à une attaque des Russes. Samara et ses acolytes étaient tous morts. Seule Mischa avait survécu. Et pourtant, aucun pays n’avait essayé de plaider sa cause ou de la faire extrader, elle avait été désavouée par le monde entier.

La raison principale pour laquelle elle était détenue ici, dans un des niveaux souterrains de Langley, n’était certainement pas parce que la CIA avait des scrupules à l’envoyer dans la prison secrète marocaine. Non, cela était dû au fait que l’Agence n’avait pas de preuves qu’elle eût commis le moindre crime. Personne dans l’équipe, ni Zéro, ni Strickland et certainement pas Maria, n’avait fait la moindre déclaration contre elle ou dénoncé ses agissements.

Ils ne savaient tout simplement pas quoi faire avec une enfant ayant subi un lavage de cerveau, d’une dangerosité manifeste, hautement entraînée et qualifiée pour tuer. Par conséquent, elle restait ici.

Mais Maria ne voyait rien de tout cela. Elle voyait une jeune fille qui, au fil des mois, lui avait fait entrevoir quelques éléments de vulnérabilité attestant qu’il lui restait un soupçon d’humanité.

« Que se passe-t-il ? » demanda Mischa.

Maria réalisa alors qu’elle avait toujours les yeux fermés. Elle les rouvrit et lui sourit lorsqu’elle vit que la jeune fille l’observait avec perplexité : « Euh… pour être tout à fait honnête, je suis triste.

– Pourquoi. » Sa question ressemblait plus à une simple affirmation dénuée de toute émotion qu’à une véritable interrogation.

« Je suis triste pour toi, expliqua Maria. Que tu sois détenue ici.

– J’ai vu bien pire, dit simplement la jeune fille.

– Ce n’est pas une raison, lui répondit Maria fermement. Tu mérites mieux. Tu n’es pas un animal. Peut-être que… » Elle s’arrêta. Peut-être que je pourrais négocier pour que tu aies une cellule avec des fenêtres , était ce qu’elle avait prévu de dire.

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