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Stieg Larsson: Les hommes qui n'aimaient pas les femmes

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Stieg Larsson Les hommes qui n'aimaient pas les femmes
  • Название:
    Les hommes qui n'aimaient pas les femmes
  • Автор:
  • Издательство:
    ACTES SUD
  • Жанр:
  • Год:
    2006
  • Язык:
    Французский
  • ISBN:
    2742761578
  • Рейтинг книги:
    4 / 5
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Les hommes qui n'aimaient pas les femmes: краткое содержание, описание и аннотация

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Ancien rédacteur de , revue d'investigations sociales et économiques, Mikael Blomkvist est contacté par un gros industriel pour relancer une enquête abandonnée depuis quarante ans. Dans le huis clos d'une île, la petite nièce de Henrik Vanger a disparu, probablement assassinée, et quelqu'un se fait un malin plaisir de le lui rappeler à chacun de ses anniversaires. Secondé par Lisbeth Salander, jeune femme rebelle et perturbée, placée sous contrôle social mais fouineuse hors pair, Mikael Blomkvist, cassé par un procès en diffamation qu'il vient de perdre, se plonge sans espoir dans les documnts cent fois examinés, jusqu'au jour où une intuition lui fait reprendre un dossier. Régulièrement bousculés par de nouvelles informations, suivant les méandres des haines familiales et des scandales financiers. lancés bientôt dans le monde des tueurs psychopathes, le journaliste tenace et l'écorchée vive vont résoudre l'affaire des fleurs séchées et découvrir ce qu'il faudrait peut-être taire. A la fin de ce volume, le lecteur se doute qu'il rencontrera à nouveau les personnages et la revue . Des fils ont été noués, des portes ouvertes. Impatient, haletant, on retrouvera Mikael et sa hargne sous une allure débonnaire, et Lisbeth avec les zones d'ombre qui l'entourent, dans Millénium 2 - La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette ; Millénium 3 - La Reine dans le palais des courants d'air.

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— Arrête. Tu ne peux pas commencer par me raconter des trucs et ensuite venir me dire que je ne dois pas le répéter.

— Bien sûr que je le peux. Ce que j'ai raconté jusqu'ici est totalement de notoriété publique. Tu peux même aller consulter le rapport si tu y tiens. Je veux bien que tu écrives sur le reste de l'histoire — que je ne t'ai pas encore raconté — mais tu dois me considérer comme une source anonyme.

— Ah, j'aime mieux ça, parce que dans le vocabulaire habituel, off the record signifie que j'ai appris quelque chose en confidence mais que je n'ai pas le droit d'écrire là-dessus.

— Je m'en fous du vocabulaire. Ecris ce qui te chante, moi, je suis ta source anonyme. Sommes-nous d'accord ?

— Bien entendu, répondit Mikael.

Considérée après coup, sa réponse était naturellement une erreur.

— Bon. Cette affaire de Minos s'est donc déroulée il y a dix ans, juste après la chute du Mur et quand les bolcheviks ont commencé à devenir des capitalistes fréquentables. J'étais de ceux qui enquêtaient sur Wennerström, et j'avais en permanence une putain d'impression que toute l'histoire était louche.

— Pourquoi n'as-tu rien dit alors ?

— J'en ai discuté avec mon chef. Le hic était qu'il n'y avait rien de solide. Tous les papiers étaient en ordre. Je n'avais qu'à apposer ma signature en bas du rapport. Mais ensuite, chaque fois que je suis tombé sur le nom de Wennerström dans la presse, Minos m'est revenu à l'esprit.

— Tiens donc.

— Il se trouve que quelques années plus tard, vers le milieu des années 1990, ma banque a mené quelques affaires avec Wennerström. D'assez grosses affaires, en fait. Ça ne s'est pas très bien passé.

— Il vous a arnaqués ?

— Non, je n'irais pas jusque-là. Nous avons tous les deux fait des profits. C'était plutôt que... je ne sais pas très bien comment l'expliquer. Là, je suis en train de parler de mon propre employeur et ça, je n'en ai pas envie. Mais ce qui m'a frappé — l'impression globale et durable, comme on dit — n'était pas positif. Dans les médias, Wennerström est présenté comme un oracle économique de taille. C'est de ça qu'il vit. C'est son capital de confiance.

— Je comprends ce que tu veux dire.

— J'avais l'impression que l'homme était un bluff, tout simplement. Il n'était pas spécialement doué pour la finance. Au contraire, je l'ai trouvé d'une bêtise insondable en certains domaines. Il s'était entouré de quelques jeunes requins vraiment futés comme conseillers, mais lui personnellement, je l'ai cordialement détesté.

— Bon.

— Il y a un an environ, je suis allé en Pologne pour une tout autre raison. Notre délégation a dîné avec quelques investisseurs de Lôdz et je me suis trouvé à la table du maire. Nous avons discuté à quel point il était difficile de remettre l'économie de la Pologne sur des rails et tutti quanti... toujours est-il que j'ai mentionné le projet Minos. Le maire m'a semblé totalement perplexe pendant un instant — comme s'il n'avait jamais entendu parler de Minos puis il s'est rappelé que c'était une petite affaire de merde qui n'avait jamais rien donné. Il a expédié le sujet avec un petit rire en disant que — je cite exactement ses mots — si c'est là tout ce que les investisseurs suédois étaient capables de faire, notre pays ferait rapidement faillite. Tu me suis ?

— Cette déclaration révèle que le maire de Lôdz est un homme sensé, mais continue.

— Cette déclaration, comme tu dis, n'a pas cessé de me turlupiner. Le lendemain, j'avais une réunion dans la matinée, mais le reste de la journée était à ma disposition. Rien que pour foutre la merde, j'ai fait le trajet pour aller voir près de Lôdz l'usine désaffectée de Minos, dans un petit village, avec un troquet dans une grange et les chiottes dans la cour. La grande usine de Minos était un bazar délabré prêt à s'écrouler. Un vieux hangar de stockage en tôle ondulée monté par l'Armée rouge dans les années 1950. J'ai rencontré un gardien dans l'enceinte qui parlait quelques mots d'allemand, et j'ai appris qu'un de ses cousins avait travaillé chez Minos. Le cousin habitait juste à côté et nous sommes allés chez lui. Le gardien a servi d'interprète. Ça t'intéresse d'entendre ce qu'il a dit ?

— Ça me démange carrément.

— Minos a démarré à l'automne 1992. Il y avait quinze employés, au mieux, pour la plupart des vieilles bonnes femmes. Le salaire était de 150 balles par mois. Au début il n'y avait pas de machines, les employés s'occupaient en faisant le ménage dans le local. Début octobre sont arrivées trois machines à carton achetées au Portugal. Elles étaient vieilles et usées et totalement dépassées. Au poids, la ferraille ne devait pas valoir plus que quelques billets de 1 000. Elles fonctionnaient, d'accord, mais tombaient tout le temps en panne. Il n'y avait évidemment pas de pièces de rechange, si bien que Minos était frappé d'arrêts de production perpétuels. En général, c'était un employé qui réparait les machines comme il pouvait.

— Maintenant ça commence à ressembler à de la matière valable, reconnut Mikael. Qu'est-ce qu'on fabriquait réellement chez Minos ?

— En 1992 et la première moitié de 1993, ils ont produit des emballages classiques pour de la lessive, des boîtes à œufs et des choses comme ça. Ensuite ils ont fabriqué des sacs en papier. Mais l'usine manquait sans arrêt de matière première et la production n'a jamais atteint de sommets.

— Voilà qui ne ressemble pas exactement à un investissement gigantesque.

— J'ai fait les comptes. Le coût du loyer total pour deux ans était de 15 000 balles. Les salaires ont pu s'élever à 150 000 au grand maximum — et je suis généreux. Achat de machines et de moyens de transport... un fourgon qui livrait les boîtes à œufs... je dirais dans les 250 000. Ajoute des frais pour établir les autorisations, quelques frais de transport — apparemment une seule personne est venue de Suède rendre visite au village à quelques reprises. Disons que toute l'affaire a coûté moins de 1 million. Un jour de l'été 1993, le contremaître est venu à l'usine, il a dit qu'elle était désormais fermée et, quelque temps plus tard, un camion hongrois est venu embarquer tout le parc de machines. Exit Minos.

DURANT LE PROCÈS, Mikael avait souvent réfléchi à ce soir de la Saint-Jean. La conversation s'était dans l'ensemble déroulée comme une discussion entre deux copains, sur un ton de chamaillerie amicale, exactement comme du temps des années lycée. Adolescents, ils avaient partagé les fardeaux qu'on trimballe à cet âge. Adultes, ils étaient en réalité des étrangers l'un à l'autre, des êtres totalement différents. Au cours de la soirée, Mikael s'était fait la réflexion qu'il n'arrivait pas vraiment à se rappeler ce qui les avait rapprochés au lycée. Il se souvenait de Robert comme d'un garçon taciturne et réservé, incroyablement timide devant les filles. Adulte, il était un... eh bien, un grimpeur talentueux dans l'univers bancaire. Pour Mikael, il ne faisait aucun doute que son camarade avait des opinions diamétralement opposées à sa propre conception du monde.

Mikael buvait rarement au point de s'enivrer, mais cette rencontre fortuite avait transformé une croisière ratée en une soirée agréable, où le niveau de la bouteille d'aquavit s'approchait doucement du fond. Justement parce que la conversation avait gardé ce ton lycéen, il n'avait tout d'abord pas pris au sérieux le récit de Robert au sujet de Wennerström mais, à la fin, ses instincts journalistiques s'étaient réveillés. Tout à coup il avait écouté attentivement l'histoire de Robert et les objections logiques avaient surgi.

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