Gérard Villiers - Les canons de Bagdad

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Pour mettre l’opération Osirak sous les meilleurs auspices, Tarik Hamadi, un agent irakien, a donné rendez-vous à Farid Badr, « commerçant » libanais, dans les Alpes bavaroises, au Berchtesgaden (ancien nid d’aigle d’Hitler), pour constater que les krytrons, composants électroniques indispensables à la fabrication d’une bombe nucléaire, étaient bien disponibles. L’opération Osirak envisagée n’est rien de moins que la « vitrification » d’une partie d’Israël, épargnant quand même Al Qods (Jérusalem). En même temps : un Américain « déçu », George Bear, a mis au point un canon capable d’envoyer des charges très lourdes à grande distance. En réunissant les deux technologies, cela devrait faire du bruit ! Malko, pour éviter une apocalypse nucléaire dans la région, devra entre Vienne et Istanbul, en passant par Amboise (France), déjouer tous les pièges d’Irakiens très adeptes du nettoyage par le vide. Il sera assisté, vu l’importance de la mission, de tous ses collaborateurs de base : Elko, Chris, Milton et Mandy, « la sulfureuse ».

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Elle s’éloigna, suivie à bonne distance par Elko Krisantem. Il n’y avait plus qu’à attendre.

* * *

Neçat Ouran, le chauffeur du Volvo, venait de se réveiller, la bouche pâteuse, lorsqu’il aperçut Fatos qui descendait la rue juste en face de lui. D’abord, il n’en crut pas ses yeux. Une fille comme ça dans ce coin perdu… Elle était trop loin pour qu’il puisse distinguer ses traits, mais sa silhouette l’enflamma instantanément.

Pour jouer, il lui expédia un coup de phares, façon de saluer sa beauté. Elle lui adressa aussitôt un petit geste de la main et se tourna à moitié pour traverser. Lorsqu’il aperçut sa croupe, Neçat Ouran sentit son ventre s’embraser. Il se mit à gratter l’entrejambe de son jeans, sentant son sexe grossir à toute vitesse. L’idée de le plonger dans cette croupe inouïe lui faisait battre le sang aux tempes.

D’un coup d’œil, il regarda ce que faisaient ses anges gardiens. Les huit Irakiens répartis en deux voitures luttaient contre le sommeil. De temps en temps, l’un d’eux descendait se dégourdir les jambes quelques instants. Ils n’avaient pas pu être relevés durant la nuit et commençaient à trouver le temps long…

La fille allait disparaître dans une petite rue. Neçat Ouran appuya sur son commodo, envoyant trois appels de phares successifs… Elle s’arrêta et lui adressa un petit geste de la main. Aussitôt, le chauffeur sortit un bras par la portière, lui faisant signe de venir… Elle sembla hésiter, puis se dirigea vers lui, faisant onduler ses hanches. Quand Ouran découvrit son décolleté, il sentit son cerveau se liquéfier ! Sans se presser, la fille arriva jusqu’au Volvo, s’arrêta et mit un pied sur le marchepied du camion. Ce faisant, sa robe remonta très haut sur sa cuisse et Neçat Ouran aperçut le triangle d’un slip blanc. Il l’aurait bien arraché avec ses dents…

— Salut ! fit-il d’une voix étranglée. Qu’est-ce que tu fais là ?

— Je rentre chez moi, dit Fatos.

— D’où tu viens ?

— Du boulot. Je travaille dans une boîte, près d’Isticlal Caddesi.

L’adrénaline se rua encore plus fort dans les artères du camionneur. Les danseuses orientales baisaient toutes avec leurs clients pour compléter leur maigre salaire. Les yeux fixés sur les seins gonflés, il demanda en ricanant.

— On t’a mis beaucoup de billets là-dedans ce soir ? Son gros index s’enfonça un peu dans la chair tendre d’un sein. Au lieu de se rebeller, Fatos gazouilla, en se tortillant.

— On ne m’en met jamais assez…

Neçat Ouran avala sa salive, tourna la tête pour vérifier que les Irakiens ne s’affolaient pas et lança d’une voix égrillarde.

— Et tu n’as pas envie qu’on te mette autre chose ? L’Anatolienne lui adressa un regard dépourvu de malice.

— Quoi donc ?

At Yarragi [50] Bite de cheval. , fit-il, comme la mienne. Elle va faire péter mon jeans si tu continues à me regarder comme ça.

Fatos reposa le pied par terre avec une moue vexée.

— Bon, je m’en vais !

Le camionneur plongea instantanément le bras à l’extérieur, l’attrapa sous l’aisselle et la hissa sur le marchepied. Les seins à hauteur de sa bouche. Il en bavait, littéralement ! De l’autre main, il la plaqua contre la portière et fourragea dans son corsage. Aussitôt, Fatos tenta de lui échapper, lui lançant d’une voix soudain agressive.

— Hé ! Je t’ai pas dit d’essuyer tes pattes sur moi. Ouran retira sa main de la portière et demanda d’une voix pressante :

— Tu veux pas passer un moment avec moi ici ?

— Ça dépend.

— De quoi ?

— T’as cinquante mille livres…

Elle avait choisi volontairement un tarif honnête. Possible pour un routier.

— Hé, tu me prends pour un Yabaan [51] Étranger. , protesta Ouran.

— Si tu veux pas, c’est pas grave, fit placidement Fatos. D’habitude je demande cent mille.

— Si, si, viens !

À l’idée de perdre ce morceau de roi, il en avait des sueurs froides. Il ouvrit la portière et la fit s’asseoir sur la banquette à côté de lui. Comme il connaissait les usages, il fouilla d’abord dans son jeans et en sortit les billets froissés que Fatos mit dans son sac. Déjà, il fourrageait entre ses cuisses, essayant d’arracher son slip.

Poliment, Fatos posa la main sur la bosse énorme de son jeans.

— C’est vrai que t’en as une très grosse ! fit-elle rêveusement. Je sais pas si ça va coller, moi, j’ai une toute petite chatte…

Si on avait mis des fusées dans le dos du routier, il aurait volé jusqu’à la lune. Il ne savait plus où donner de la main, écartant le haut, le bas, partout où il pouvait toucher la chair tiède. Soufflant comme un phoque. Fébrilement, il descendit la fermeture de son jeans, exhibant une trique énorme, massive, violacée.

Comme un fou, il saisit la nuque de Fatos et la lui planta pratiquement dans la bouche. Elle se mit à le traiter si bien qu’il faillit partir tout de suite.

— Arrête ! gronda-t-il. Je veux te baiser. Tu vas le gagner ton argent, à la sueur de ton petit cul.

Il n’avait plus qu’une idée : enfoncer son membre massif dans ce sexe qu’il imaginait minuscule, à l’en faire éclater. Quel viatique avant un voyage fatigant. C’est Allah qui lui avait envoyé cette petite salope…

Pendant qu’elle continuait sa fellation avec plus de retenue, il retroussa sa robe sur ses hanches, mesmérisé par les fesses inouïes de blancheur et de fermeté. Le slip de dentelle les rendait encore plus désirables.

— Mets-toi comme ça ! ordonna-t-il.

Il voulait qu’elle se place entre lui et le gros volant, mais elle refusa. Préférant s’agenouiller sur la banquette, lui tournant le dos. Neçat Ouran en avait le vertige. Prenant dans la main gauche son sexe prêt à exploser, il le pointa en direction de celui de Fatos, poussa de toutes ses forces et finit par s’enfoncer d’un coup en elle, emmenant avec lui un morceau de dentelle ; il aurait percé de l’acier. Son membre était tellement serré qu’il faillit défaillir tout de suite. Il baissa les yeux sur cette croupe fabuleuse et se mit à la besogner le plus lentement possible, pour faire durer le plaisir, en dépit des protestations de Fatos.

— Arrête ! Tu me défonces ! Tu es trop gros !

Ça l’excitait encore plus, Neçat ! Il se dit qu’il allait l’installer sur la couchette derrière lui, l’emmener en voyage, la baiser sur tous les parkings entre Istanbul et Mossoul. Il se retira, enfonça ses gros pouces dans les deux globes fermes, dégageant l’entrée des reins de Fatos et annonça :

— Je vais te déchirer le cul, petite salope ! Avec ma bite d’âne !

Ce furent les derniers mots qu’il prononça. Tout à son affaire, il n’avait pas entendu Elko Krisantem ouvrir la portière et grimper dans la cabine. Le lacet fut autour de son cou avant même qu’il le voie.

Elko ne fit pas de quartier, serrant tout de suite à se faire péter les ligaments du poignet. Férocement. Neçat Ouran ne put même pas glisser les doigts entre son cou et le mortel lacet. Sa force herculéenne semblait se dissoudre. Il ne pensait plus, se débattant encore, un voile rouge devant les yeux. Fatos, Elko et lui formaient une masse confuse, oscillant sur la banquette. Elko serrait, serrait, retenant lui-même son souffle.

Pris dans les convulsions de l’agonie, le routier fit de vrais bonds de carpe. Tout à coup, il projeta Elko Krisantem contre le klaxon qui se déclencha, hurlant dans le calme matinal.

* * *

Elko Krisantem comprit le danger en une seconde, entendant des portières s’ouvrir et des exclamations. Le chauffeur ne respirait plus, mais les Irakiens allaient rappliquer. À voix basse, il lança à Fatos.

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