George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 7
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ACTE III
Remplis la coupe! Nous sommes ici dans l'ordre: c'est ici mon vrai royaume, entre de beaux yeux et des figures aussi heureuses que belles! Ici, le chagrin ne saurait pénétrer.
Ni partout ailleurs: – où est le roi, brille aussitôt le plaisir.
Cela ne vaut-il pas mieux que les chasses de Nemrod, ou les courses de ma fière grand'-mère à la recherche de royaumes qu'elle n'aurait pu gouverner, si elle en eût fait la conquête?
Quelque grands qu'ils fussent, et comme le fut toute la royale race, nul de ceux qui ont précédemment régné n'a pourtant atteint la gloire de Sardanapale, qui mit toute sa joie dans la paix, la plus solide des gloires.
Et dans le plaisir, cher Altada, vers lequel la gloire n'est qu'un chemin. Que recherchons-nous? le plaisir. Nous devons abréger la route qui y conduit; nous ne la poursuivons pas à travers les cendres de l'humanité, et nous évitons de signaler par autant de tombeaux chacun de nos pas.
Non; tous les cœurs sont heureux; toutes les voix s'accordent pour bénir le roi de paix, qui tient l'univers en joie.
En es-tu bien sûr? J'ai ouï parler différemment; quelques-uns parlent de traîtres.
Sire, les traîtres sont ceux qui parlent ainsi 2 2 Ces mots (pourquoi? je l'ignore) me rappellent ceux de la fameuse dernière adresse de 1830, au roi Charles X. «Sire, entre ceux qui méconnaissent une nation si fidèle , si dévouée , si soumise, et nous , que votre majesté prononce.» – La réponse de Zames est, comme on le voit, très- respectueuse .( N. du Tr. )
. Cela est impossible. Dans quel but?
Dans quel but? tu as raison: – Remplis la coupe; nous n'y songerons plus. Il n'y a pas de traîtres: ou s'il en est, ils sont partis.
Amis, faites-moi raison! Vidons tous, à genoux, une coupe à la santé du roi, – du monarque, dis-je, du dieu Sardanapale!
Au roi plus puissant que Baal son père, au dieu Sardanapale ! (Le tonnerre interrompt leur toast, quelques-uns se relèvent effrayés.) Pourquoi vous relever, mes amis? Ses ancêtres divins expriment, par cette éclatante voix, leur consentement à nos vœux.
Dis plutôt leurs menaces. Souffriras-tu, roi, cette ridicule impiété?
Impiété! – Eh bien! si mes aïeux et prédécesseurs sont des dieux, je ne déshonorerai pas leur lignée. Mais levez-vous, mes pieux amis; réservez votre dévotion pour le maître du tonnerre: mes vœux sont d'être aimé, et non pas déifié.
Vous êtes l'un et l'autre; – et vous le serez toujours par vos fidèles sujets.
Le tonnerre semble redoubler: voilà une horrible nuit.
Oh! oui, pour les dieux qui n'ont pas de palais où puissent être à l'abri leurs adorateurs.
Il est vrai, Mirrha; et si je pouvais transformer mon royaume en un vaste asile pour les malheureux, je le ferais.
Tu n'es donc pas dieu, puisque tu ne peux exécuter le grand et noble vœu que tu formes.
Et vos dieux donc, que sont-ils? eux qui le peuvent et ne le font pas?
Ne parle pas de cela, de crainte de les provoquer.
En effet; ils n'aiment pas mieux que les mortels la censure. Une pensée me frappe, mes amis: s'il n'existait pas de temple, croyez-vous qu'il y eût des adorateurs de l'air? – c'est-à-dire, quand il est triste et furieux comme en ce moment.
Le Perse prie sur ses montagnes.
Oui, quand brille le soleil.
Mais moi, je demanderais, si ce palais était renversé et détruit, combien de flatteurs baiseraient la poussière sur laquelle marchait le roi?
La belle Ionienne parle avec trop de dédain d'une nation qu'elle ne connaît pas assez; les Assyriens ne savent de plaisir que celui de leur roi: ils sont fiers de leurs hommages.
Eh bien! mes hôtes, pardonnez la vivacité d'expression de la belle Grecque.
Lui pardonner , sire! nous lui devons honneur, comme à tout ce qui vous appartient. Mais quel est ce bruit?
Ce bruit! rien que les éclats de portes lointaines frappées du vent.
Il a retenti comme le cri de-Écoutez encore.
C'est la pluie tombant par torrens sur le toit.
N'en parlons plus. Mirrha, mon amour, as-tu préparé ta lyre? Chante-moi une pièce de Sapho; de celle, tu sais, qui, dans ton pays, se précipita-
Assurez-vous des portes; courez de toutes vos forces vers les murs. Aux armes! aux armes! le roi est en péril. Monarque, excusez cette hâte: – ma fidélité l'exige.
Explique-toi.
Les craintes de Salemènes étaient fondées: les perfides satrapes-
Vous êtes blessé: – qu'on lui présente du vin. Reprenez vos sens, cher Pania.
Ce n'est rien: – c'est une légère blessure. Je suis plus accablé de l'empressement que j'ai mis à avertir mon prince, que du sang répandu pour le défendre.
Eh bien! les rebelles?
À peine Arbaces et Belèses eurent-ils atteint leur demeure dans la ville, qu'ils refusèrent de marcher: et quand je voulus user du pouvoir qui m'était délégué, ils invoquèrent leurs troupes, qui se soulevèrent aussitôt en furie.
Tous?
Beaucoup trop.
Ne va pas, en mettant une borne à ta franchise, épargner la vérité à mes oreilles.
Ma faible garde était fidèle; – et ce qui en reste le demeure encore.
Est-ce là tout ce qu'il y a de fidèle dans l'armée?
Non: – les Bactriens, conduits par Salemènes, qui, toujours oppressé de violens soupçons sur les gouverneurs de Médie, était alors en marche. Les Bactriens sont nombreux; ils font aux rebelles une résistance opiniâtre, disputent le terrain pas à pas, et forment un cercle autour du palais: c'est là qu'ils songent à réunir toutes leurs forces, et à protéger le roi. (Il hésite.) Je suis chargé de-
Il n'est pas tems d'hésiter.
Le prince Salemènes supplie donc le roi de s'armer lui-même, quoique pour un moment, et de se montrer en soldat: dans cette circonstance, sa seule présence ferait plus que n'en saurait faire une armée.
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