George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 10

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Œuvres complètes de lord Byron, Tome 10: краткое содержание, описание и аннотация

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Note 28: (retour)Environ 2,800,000 fr.( N. du Tr. )

»Je ne les dérange pas beaucoup. Quant à vos bals, vos assemblées, on n'y songe même pas dans notre philosophie! Avez-vous lu le récit d'un accident affreux arrivé l'autre jour sur la Wye? douze personnes noyées, et M. Rossoe, un gros gentleman, qui avait dû la vie à un croc de bateau ou un trident, pria qu'on le rejetât dans l'eau, parce que sa femme avait été sauvée… non, noyée ! comme s'il n'aurait pas pu s'y jeter lui-même, s'il l'avait voulu; mais cela passe pour trait de sensibilité. Que les hommes sont d'étranges animaux dans la Wye et dehors!

»Il me reste à vous demander un million de pardons pour ne m'être pas acquitté de vos commissions avant de partir de Londres; mais si vous saviez la masse d'ennuyeux engagemens et d'obstacles que j'avais sur les bras, je suis sur que vous ne m'en voudriez pas. Quand s'assemblera le nouveau parlement? Dans soixante jours, je présume, à cause des affaires d'Irlande; les élections de ce pays demanderont plus de tems que n'en comporte la loi. Quant à la vôtre, elle est sûre naturellement, cela n'est pas une question. Salamanque est le mot d'ordre du ministère, et tout ira bien pour vous. J'espère que vous parlerez plus souvent; je suis sûr du moins que vous le devriez, et que l'on s'y attendra. Portman veut donc courir encore une fois la chance? Bon soir.

Je suis toujours votre très-affectionné,

Νωαιρων 29.

Note 29: (retour)Signature qu'il employait souvent à cette époque.

LETTRE CX

À M. MURRAY

Cheltenham, 27 septembre 1812.

«Je n'ai envoyé aucun discours d'ouverture au comité; sur près de cent, je vous le dis en confidence , pas un n'a paru digne d'être reçu: en conséquence on est revenu à moi; j'ai écrit un prologue, qui a été reçu et qui sera prononcé. Le manuscrit est maintenant entre les mains de lord Holland.

»Mon seul but est de vous avertir que, de quelque manière qu'il soit accueilli au théâtre, vous le publierez avec la première édition de Childe-Harold . Je vous prie seulement, quant à présent, de me garder le secret, jusqu'à nouvel ordre, et de vous procurer une copie correcte pour en faire ce que vous jugerez convenable.

» P. S. Je désirerais que vous en tirassiez quelques exemplaires avant la représentation, afin que les journaux puissent en rendre un compte exact après.»

LETTRE CXI

À M. MURRAY

Cheltenham, 12 octobre 1812.

«Je ne veux absolument pas que le portrait soit gravé; je vous prie de ne le joindre, sous aucun prétexte, à la nouvelle édition; je désire que toutes les épreuves soient brûlées et la planche brisée. Je paierai toutes les dépenses faites à ce sujet, cela est trop juste, puisque je ne crois pas pouvoir permettre la publication. Je vous demande comme une faveur toute particulière de ne pas perdre un moment pour faire ce que je désire; j'ai mes raisons et je vous les expliquerai quand je vous verrai. Je suis honteux de vous donner tant de peine.

»Je ne sais point comment le public a reçu le Prologue au théâtre; je vois seulement que les journaux en disent du mal, ce dont ne s'embarrasse guère un vieil auteur comme moi. Je vous laisse absolument le maître de le joindre ou non à la prochaine édition, quand nous en donnerons une. Faites, je vous prie, exactement ce que je désire quant au portrait, et croyez-moi toujours, etc.

»Faites-moi l'amitié de me répondre; je ne serai pas tranquille que je ne sache les épreuves et la planche détruites. On dit que le Satirist a rendu compte de Childe-Harold , je n'ai pas besoin de demander dans quel sens; mais je voudrais savoir s'il a reproduit ses anciennes personnalités? J'ai un intérêt plus grand que le mien là-dedans: souvent, dans ces sortes d'articles, on introduit des noms étrangers, surtout des noms de femmes.»

LETTRE CXII

À LORD HOLLAND

Cheltenham, 14 octobre 1812.

«L'injuste préférence du comité paraît avoir mis en émoi tous les journaux, même celui de mon ami Perry. Il m'a traité assez rudement, tu, Brute ! Je compte en retour lui envoyer, par le Morning-Chronicle , la première épigramme qui m'échappera, comme gage de pardon.

»Le comité est-il dans l'intention d'entrer en explication sur sa conduite dans cette affaire? Vous voyez qu'on est assez disposé à l'accuser de partialité. Vous voudrez bien, au moins, me disculper de tout empressement déplacé à me pousser au détriment de tant d'anonymes plus anciens dans le métier, plus habiles que moi, qui n'eussent point été insensibles aux vingt guinées (équivalentes, je crois, à près de deux mille au cours de la banque), sans compter l'honneur. Mais l'honneur, à ce que je vois, ne suffit pas pour un succès dans ce genre de littérature.

»Je voudrais savoir ce qu'il en sera advenu a la seconde représentation, et si quelqu'un aura eu la bonté d'en témoigner quelque satisfaction. Je n'ai vu de journaux que celui de Perry et deux feuilles hebdomadaires. Perry est sévère, les deux autres gardent le silence. Si vous et le comité ne vous repentez pas de votre jugement, je ne m'embarrasserai guère des brillans articles des journaux. Mon opinion à moi, sur ce Prologue, est ce qu'elle a toujours été; je ne suis pas loin, peut-être, d'en penser comme le public.

»Croyez-moi, cher milord, etc., etc.

» P. S. Mes complimens respectueux à lady Holland; son sourire serait une grande consolation pour moi, même à distance.»

LETTRE CXIII

À M. MURRAY

Cheltenham, 18 octobre 1812.

«Auriez-vous la bonté de faire insérer correctement (sur une copie correcte , car j'écris fort mal) dans plusieurs journaux, et particulièrement dans le Morning-Chronicle , cette parodie d'un genre tout particulier, car les premiers vers sont absolument ceux de Busby 30. Dites à Perry que je lui pardonne tout ce qu'il a dit et pourra dire contre mon Prologue, mais il faut qu'il me permette de critiquer à mon tour le docteur; et qu'il ne me trahisse pas… audi alteram partem . Je ne sais quelle mouche a piqué M. Perry; autrefois nous étions très-bons amis: mais n'importe, faites seulement insérer ceci.

Note 30: (retour)Le docteur Busby, l'un des concurrens, dont il s'était amusé à parodier le prologue, qui n'en avait pas besoin.

»J'ai un ouvrage pour vous, La Valse , dont je vous fais présent, mais il faut me garder l'anonyme: c'est dans le vieux style des Poètes anglais et les Journalistes écossais .

» P. S. Avec la prochaine édition de Childe-Harold , vous pourrez imprimer les cinquante ou cent premiers vers de la Malédiction de Minerve , jusqu'à la strophe:

Mortel (c'est ainsi qu'elle parla), etc.

vous arrêtant naturellement où commence la Satire proprement dite; la première partie est la meilleure.»

LETTRE CXIV

À M. MURRAY

19 octobre 1812.

«Bien des remerciemens, mais il faut que je paie le dommage, et je vous serai obligé de m'en faire connaître le montant. Je crois que les Adresses rejetées sont, de beaucoup, la meilleure chose qui ait paru en ce genre depuis la Rolliade , et je souhaiterais, dans votre intérêt, que vous en fussiez l'éditeur. Dites à l'auteur que je lui pardonnerais de grand cœur, se fût-il montré vingt fois plus satirique, et que ses imitations ne sont pas du tout inférieures aux fameuses imitations d'Hawkins Browne. Il faut que ce soit un homme de beaucoup d'esprit, et d'un esprit moins désagréable et moins offensant que celui qu'on rencontre généralement dans ces sortes d'ouvrages; somme toute, j'admire beaucoup le sien et lui souhaite beaucoup de succès. Le Satirist , comme vous l'avez pu voir, a maintenant changé de ton; nous voilà délivrés, je crois, des critiques de Childe-Harold . J'ai en mains une Satire sur la Valse , qu'il faudra que vous publiiez anonyme; elle n'est pas longue, deux cents vers au plus, mais cela fera une assez bonne petite brochure. Vous l'aurez sous peu de jours.

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