George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11

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Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11: краткое содержание, описание и аннотация

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»J'ai été aussi membre de l'Alfred, – mon élection ayant eu lieu pendant que j'étais en Grèce. Il était agréable, quoique un peu trop sérieux, un peu trop littéraire; et puis il fallait y supporter *** et sir Francis d'Ivernois; mais en revanche on y rencontrait Peel et Ward et Valentia, et plusieurs autres personnes aimables et connues. Au total c'était une ressource honnête un jour pluvieux, lorsqu'il y avait disette de plaisirs, que le parlement ne siégeait pas et que la ville était déserte.

»Voici le nom des clubs ou sociétés auxquelles j'ai appartenu: l'Alfred, le Cacaotier, Watier, l'Union, la Fusée (à Brighton), le Pugilat, les Hiboux (ou les Oiseaux de Nuit), le club whig de Cambridge, le club d'Harrow à Cambridge, et un ou deux autres clubs particuliers, le club politique d'Hampden, et les Carbonari Italiens qui, bien que nommé le dernier, n'est pas le moindre. J'ai été reçu dans tous ceux-là, et ne me suis jamais, que je sache, mis sur les rangs pour entrer dans aucun autre. Au contraire, j'ai refusé d'y être présenté, quoique vivement pressé de me faire porter candidat.»

«Lorsque je rencontrai H*** L***, le geôlier, chez lord Holland, avant son départ pour Sainte-Hélène, la conversation tomba sur la bataille de Waterloo. Je lui demandai si les dispositions de Napoléon étaient celles d'un grand général: il me répondit d'un air de dédain, qu'elles étaient fort simples . J'avais toujours pensé que la grandeur devait être accompagnée d'un degré de simplicité.»

«J'ai toujours été frappé de la simplicité des manières de Grattan dans la vie privée; elles étaient singulières, mais très-naturelles. Curran avait l'habitude de le contrefaire, remerciant Dieu, en s'inclinant jusqu'à terre de la manière la plus comique, de n'avoir rien de remarquable dans le geste ou dans la tournure; et *** l'appelait habituellement «un arlequin sentimental.»

«Curran! oui, Curran est l'homme qui m'a le plus frappé 25. Quelle imagination! Je n'ai jamais rien vu, rien entendu dans ma vie qui pût en approcher. Sa vie qu'on a publiée, ses discours publiés également ne vous donnent pas la moindre idée de ce qu'était l'homme: c'était une machine à imagination, comme quelqu'un a dit de Piron qu'il était une machine à épigrammes.

Note 25: (retour)On retrouvait dans son Memoranda les mêmes louanges enthousiastes de Curran. «Les richesses de son imagination irlandaise, dit-il, étaient inépuisables. J'ai trouvé plus de poésie dans la conversation de cet homme, que je n'en ai jamais rencontré dans les livres, quoique je ne le visse que rarement et en passant. J'étais chez Mackintosh lorsqu'on le présenta à Mme de Staël; c'était le grand confluent du Rhône et de la Saône, et ils étaient tous deux si horriblement laids, que je me demandais avec étonnement comment les deux plus beaux esprits de la France et de l'Irlande avaient pu se choisir chacun de leur côté une telle résidence.»

Dans un autre passage cependant, il parle un peu plus favorablement du physique de Mme de Staël. «Sa taille n'était pas mal, dit-il, ses jambes étaient passables et ses bras très-beaux. Au total, je conçois qu'elle ait pu inspirer, des désirs, son ame et son esprit pouvant faire naître des illusions sur tout le reste. Elle aurait fait un grand homme».

»Je n'avais pas beaucoup vu Curran avant 1813; mais depuis je le reçus chez moi (car il y venait souvent), et je le rencontrai en société, chez Mackintosh, chez le lord Holland, etc., etc., et il me parut toujours étonnant à moi qui avais vu tant d'hommes remarquables de l'époque.»

«*** (appelé communément *** le long, homme très-spirituel, mais bizarre) se plaignait à notre ami Scrope B. Davies, étant à cheval, qu'il avait un point de côté . «Je ne m'en étonne pas, lui répondit Scrope, vous montez à cheval comme un tailleur.» Quiconque a vu *** avec sa grande taille, monté sur une petite jument, ne peut nier la justesse de cette répartie.»

«Quand B. fut obligé de se retirer en France à la suite de son affaire avec le pauvre M***, qui reçut de là le surnom de Dick le tueur de dandys (ils s'étaient battus, je crois, au sujet d'argent, de dettes, etc., etc.), il ne savait pas un mot de français, et se mit à étudier la grammaire. Quelqu'un ayant demandé à notre ami Scrope Davies si Brummel faisait des progrès dans la langue française, il répondit que Brummel, de même que Buonaparte en Russie, avait été arrêté par les élémens .

»J'ai mis ce calembourg dans Beppo , et ce n'est pas un vol, mais un honnête échange, car Scrope a fait fortune à plusieurs dîners (il me l'a avoué lui-même), en répétant comme venant de son propre fonds quelques-unes des bouffonneries dont je l'avais régalé le matin.»

«*** est un brave homme et il rime bien, quoique il ne soit pas savant. C'est un de ces individus qui vous prennent au collet. Un soir, à un rout de Mrs. Hope, il s'était attaché à moi malgré des symptômes de détresse très-manifestes de ma part, car j'étais amoureux et je venais de saisir une minute où il n'y avait ni mère, ni mari, ni rivaux, ni commères auprès de mon idole du moment, qui était aussi belle que les statues de la galerie où nous nous tenions alors. Je dis donc que *** me tenait par le bouton et par les cordes du cœur, et ne m'épargnait ni d'un côté ni de l'autre. W. Spenser, qui aime à plaisanter, et qui ne hait pas à tourmenter un peu les autres, vit ma situation, et s'avançant vers nous, il me fit ses adieux du ton le plus pathétique. Car, ajouta-t-il, je vois bien que c'en est fait de vous. – Là-dessus, *** s'en alla. Sic me servavit Apollo .

«Je me rappelle avoir rencontré Blücher dans les assemblées de Londres, et je ne sache pas avoir jamais vu d'homme de son âge moins respectable. Avec la voix et le ton d'un sergent recruteur, il prétendait aux honneurs d'un héros, comme si nous devions adorer une pierre parce qu'un homme, en faisant un faux pas, est tombé dessus.»

Nous approchons maintenant du terme de cette fatale époque de son histoire. Dans un billet 26adressé à M. Rogers, peu de tems avant son départ pour Ostende, il dit: «Ma sœur est en ce moment près de moi, et elle repart demain. – Si jamais nous devons nous revoir, ce ne sera pas, du moins, de quelque tems; et, dans de telles circonstances, j'espère que vous et M. Shéridan m'excuserez de ne pouvoir me rendre chez lui ce soir.»

Note 26: (retour)Footnote 26: Daté du 16 avril.

Ce fut la dernière entrevue qu'il eut avec sa sœur, la seule personne, en quelque sorte, dont il se séparât avec regret. Il nous dit lui-même qu'il était incertain de savoir qui lui avait causé le plus de chagrin, des ennemis qui l'attaquaient, ou des amis qui s'en affligeaient avec lui. Ces vers si beaux et si tendres:

Quoique le jour de ma destinée soit évanoui , etc., furent le tribut d'adieux 27qu'il adressa, en partant, à celle qui, au milieu de ses épreuves les plus amères, avait été sa seule consolatrice; et quoique connus à la plupart des lecteurs, ils peignent si bien les profondes blessures de sa sensibilité à cette époque, que je ne pense pas que le lecteur regrette d'en retrouver quelques stances ici.

Note 27: (retour)On verra dans une lettre subséquente que la première stance de ces adieux si sincèrement affectueux: « Ma barque est sur le rivage » fut aussi composée à cette époque.( Note de Moore .)

...........................

Quoique le roc sur lequel s'appuyait ma dernière espérance soit réduit en éclats, et que les fragmens en soient engloutis sous les ondes, quoique je sente que mon ame soit condamnée à la douleur, elle ne sera pas son esclave. Je suis réservé à plus d'une angoisse; on peut m'accabler, mais non pas m'avilir; on peut me torturer, mais non me soumettre: c'est de toi que je m'occupe, et non pas d'eux.

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