George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 12
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- Название:Œuvres complètes de lord Byron, Tome 12
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Note 6: (retour)Géhenne des eaux; ô toi, Sodome de la mer! Marino Faliero
»Je vous écris en grande hâte, mettez-en autant à me répondre. Je n'entends pas grand'chose à tout cela; mais on dirait que la Guiccioli aurait passé dans le public pour avoir été plantée là , et qu'elle était décidée à montrer que ce n'était pas; car être plantée là est ici la plus grande des calamités morales. Au surplus, ce n'est qu'une conjecture; je ne sais rien de ce qui en est, excepté que tout le monde lui fait beaucoup d'accueil et se montre fort poli avec moi. Le père et tous les parens ont l'air agréable et satisfait.
»Votre à jamais.
» P. S. Mes très-humbles respects à Mrs. H***.
»Je vous ferais bien les complimens de la saison; mais la saison elle-même, avec ses pluies et ses neiges, est si peu complimenteuse, que j'attendrai les rayons du soleil.»
LETTRE CCCLIII 7
Ravenne, 20 janvier 1820.
«Je n'ai encore rien décidé au sujet de mon séjour à Ravenne; j'y puis rester un jour, une semaine, un an, toute ma vie, tout cela dépend de ce que je ne puis deviner ni prévoir. Je suis venu parce que j'ai été demandé, et je partirai dès que je m'apercevrai que mon départ est convenable. Mon attachement n'a ni l'aveuglement d'un amour naissant, ni la clairvoyance microscopique qui termine ces sortes de liaisons; mais le tems et l'événement décideront du parti que je prendrai. Je ne puis encore en rien dire, parce que je n'en sais guère plus que ce que je vous en ai dit.
Note 7: (retour)La lettre 352e, adressée à Moore, a été supprimée.
»Je vous ai écrit par le dernier courrier au sujet de mes meubles; car il n'y a pas moyen de trouver ici un logement avec une table et une chaise; et comme j'ai déjà à Bologne des objets de ce genre, que je m'étais procurés l'été dernier pour ma fille, j'ai donné ordre qu'on les transportât ici, et je désire qu'il en soit de même de ceux de Venise, afin que je puisse sortir de l' albergo imperiale , qui est impériale dans toute l'étendue du mot. Que Buffini soit payé de son poison. J'ai oublié de vous remercier, ainsi que Mme Hoppner, pour tout un trésor de joujoux envoyés à Allegra avant notre départ; c'est bien bon à vous, et nous vous en sommes bien reconnaissans.
»Votre triage de la société du gouverneur est fort amusant. Si vous ne comprenez pas les exceptions consulaires, je les comprends, moi; et il est juste qu'un homme d'honneur et une femme vertueuse en jugent ainsi, surtout dans un pays où il n'y a pas dix personnes de bien. Quant à la noblesse, il n'y a pas en Angleterre de réellement nobles que les pairs; les fils de pairs même n'ont pas de titre; quoiqu'on leur en accorde un par courtoisie. Il n'y a pas de chevaliers de la jarretière, à moins qu'ils n'appartiennent à la pairie, de sorte que Castlereagh lui-même aurait de la peine à subir l'examen d'un généalogiste étranger avant la mort de son père.
»La neige a ici un pied d'épaisseur. Il y a un théâtre et un Opéra. On nous donne le Barbier de Séville . Les bals commencent. Veuillez payer mon portier, quoique ce soit pour ne rien faire. Expédiez-moi mes meubles, et faites-moi savoir par vous-même ou par Cartelli comment vont mes procès; mais ne payez Cartelli qu'en proportion du succès. Peut-être, si vous allez en Angleterre, nous y reverrons-nous ce printems. Je vois que H*** s'est mis dans un embarras qui ne me plaît guère; il n'aurait pas dû s'avancer autant avec ces gens-là sans calculer les conséquences. Je me croyais autrefois le plus imprudent de tous mes amis et de toutes mes connaissances; mais maintenant je commence presque à en douter.
LETTRE CCCLIV
Ravenne, 31 janvier 1820.
«Vous vous serez donné beaucoup de peine pour le déménagement de mes meubles, mais Bologne est le lieu le plus près où l'on puisse s'en procurer, et j'ai été obligé d'en avoir pour les appartemens que je destinais à recevoir ici ma fille durant l'été. Les frais de transport seront au moins aussi grands; ainsi vous voyez que c'était par nécessité et non par choix. Ici on fait tout venir de Bologne, excepté quelques petits articles de Forli ou de Faënza.
»Si Scott est de retour, rappelez-moi, je vous prie, à son souvenir, et dites-lui que la paresse seule est cause que je ne lui ai pas répondu: – c'est une terrible entreprise que d'écrire une lettre. Le carnaval est ici moins bruyant, mais nous avons des bals et un théâtre. J'y ai mené Bankes, et il a, je crois, emporté une impression beaucoup plus favorable de la société de Ravenne que de celle de Venise: – rappelez-vous que je ne parle que de la société indigène .
»Je suis très-sérieusement en train d'apprendre à doubler un schall, et je réussirais jusqu'à me faire admirer, si je ne le doublais pas toujours dans le mauvais sens, et quelquefois je confonds et emporte deux, en sorte que je déconcerte tous les serventi 8, laissant d'ailleurs au froid leurs servite 9, jusqu'à ce que chacun rentre dans sa propriété. Mais c'est un pays terriblement moral, car vous ne devez pas regarder d'autre femme que celle de votre voisin. – Si vous allez à une porte plus loin, vous êtes décrié, et soupçonné de perfidie. Ainsi, une relazione 10ou amicizia 11semble être une affaire régulière de cinq à quinze ans, qui, s'il survient un veuvage, finit par un sposalizio 12; et en même tems elle est soumise à tant de règles spéciales, qu'elle n'en vaut guère mieux. Un homme devient par le fait un objet de propriété féminine. – Ces dames ne laissent leurs serventi se marier que lorsqu'il y a vacance pour elles-mêmes. J'en connais deux exemples dans une seule famille.
Note 8: (retour)Le lecteur a déjà dû remarquer, et à son défaut nous remarquerons une fois pour toutes, que nous laissons dans notre traduction les expressions italiennes dont Lord Byron aimait à se servir.
Note 9: (retour)Femme qui a un cavaliere servente .
Note 10: (retour)Liaison.
Note 11: (retour)Amitié.
Note 12: (retour)Mariage. ( Notes du Trad. )
»Hier soir il y eut une loterie **** 13après l'opéra; c'est une burlesque cérémonie. Bankes et moi nous prîmes des billets, et plaisantâmes ensemble fort gaîment. Il est allé à Florence. Mrs J*** doit vous avoir envoyé mon postscriptum ; il n'y a pas eu d'occasion de vous attaquer en personne. Je n'interviens jamais dans les querelles particulières, – elle peut vous égratigner elle-même la figure.
Note 13: (retour)Il y a dans le texte anglais un mot illisible, parce qu'il se trouvait sous le cachet. ( Note de Moore .)
»Le tems ici a été épouvantable, – plusieurs pieds de neige-un fiume 14a brisé un pont, et inondé Dieu sait combien de campi 15; puis la pluie est venue, – et le dégel dure encore, – en sorte que mes chevaux de selle ont une sinécure jusqu'à ce que les chemins deviennent plus praticables. Pourquoi Léga a-t-il donné le bouc? Le sot. – Il faut que j'en reprenne possession.
Note 14: (retour)Fleuve.
Note 15: (retour)Champs. ( Notes du Trad. )
»Voulez-vous payer Missiaglia et le Buffo Buffini de la Gran-Bretagna? J'ai reçu des nouvelles de Moore, qui est à Paris; je lui avais auparavant écrit à Londres, mais apparemment il n'a pas encore reçu ma lettre. Croyez-moi, etc.»
LETTRE CCCLV
Ravenne, 7 février 1820.
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