George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 12
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- Название:Œuvres complètes de lord Byron, Tome 12
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Œuvres complètes de lord Byron, Tome 12: краткое содержание, описание и аннотация
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Note 22: (retour)Suit cette traduction de l'épisode de Françoise de Rimini , tiré du cinquième chant de l'Enfer du Dante; elle ne peut offrir d'intérêt qu'en anglais même, comme objet de comparaison entre les deux poètes et les deux langues. Nous n'avons pas dû, comme nous l'avons déjà remarqué, traduire une traduction: nous n'avons fait exception que pour le Morgante Maggiore . Voir tome IV. ( Notes du Trad. )
LETTRE CCCLXIV 23
Ravenne, 28 mars 1820.
Je vous envoie ci-jointe une Profession de foi dont vous voudrez bien vous donner la peine d'accuser réception par le plus prochain courrier. M. Hobhouse doit être chargé d'en surveiller l'impression. Vous pouvez d'ailleurs montrer préalablement la pièce à qui vous voudrez. Je désire savoir ce que sont devenues mes deux épîtres de saint Paul (traduites de l'arménien il y a trois ans ou même davantage), et de la lettre à R-ts, écrite l'automne dernier? Vous n'y avez donné aucune attention. Il y a deux paquets avec ceci.
» P. S. J'ai quelque idée de publier les Essais imités d'Horace , composés il y a dix ans, – si Hobhouse peut les déterrer parmi les paperasses laissées chez son père, – sauf quelques retranchemens et changemens à faire quand je verrai les épreuves.»
Note 23: (retour)La lettre 363e a été supprimée, parce qu'elle est à peu de chose près la répétition des lettres précédentes adressées à M. Murray, sur Don Juan , le Morgante , la Prophétie . ( Note du Trad. )
LETTRE CCCLXV
Ravenne, 29 mars 1820.
«Vous recevrez ci-jointe une note sur Pope; j'ai enfin perdu toute patience à entendre l'atroce et absurde jargon que nos présens *** débitent par torrens sur le compte de Pope, et je suis déterminé à y tenir tête, autant qu'il est possible à un seul individu, tant en prose qu'en vers; et du moins la bonne volonté ne me manquera pas. Il n'y a pas moyen de supporter cela plus long-tems; et, si l'on continue; on détruira le peu qui reste de bon style et de goût parmi nous. J'espère qu'il y a encore quelques hommes de goût pour me seconder; sinon je combattrai seul, convaincu que c'est dans l'intérêt de la littérature anglaise.
Je vous ai envoyé dernièrement tant de paquets, vers et prose, que vous serez fatigué d'en payer le port, sinon de les lire. J'ai besoin de répondre à quelques passages de votre dernière lettre, mais je n'ai pas le tems, car il faut me botter et monter en selle, parce que mon capitaine Craigengelt (officier de la vieille armée italienne de Napoléon) attend, ainsi que mon groom et ma bête.
Vous m'avez prodigué la métaphore et je ne sais quoi encore sur le compte de Pulci, sur les moeurs, sur l'usage «d'aller sans vêtemens, comme nos ancêtres saxons.» D'abord, les Saxons «n'allaient pas sans vêtemens;» et, en second lieu, ils ne sont ni mes ancêtres, ni les vôtres; car les miens étaient Normands, et les vôtres, je le sais par votre nom, étaient Galliques . Et puis, je diffère d'opinion avec vous sur le «raffinement» qui a banni les comédies de Congreve. Les comédies de Sheridan ne sont-elles pas jouées pour les banquettes? Je sais , (en qualité d' ex-commissaire du théâtre ) que l' École du Scandale 24était la plus mauvaise pièce du répertoire, en fait de recette. Je sais aussi que Congreve cessa d'écrire, parce que Mrs. Centlivre fit déserter ses comédies. Ainsi, ce n'est pas la décence, mais la stupidité qui fait tout cela, car Sheridan est un écrivain aussi décent qu'il faut être, et Congreve n'est pas pire que Mrs. Centlivre, dont Wilkes (l'acteur) a dit: 25«Non-seulement son théâtre doit être damné; mais elle-même aussi.» Il faisait allusion à Un coup hardi pour avoir femme . Mais enfin, et pour revenir au sujet, Pulci n'est point un écrivain indécent , – au moins dans son premier chant, comme vous devez à présent en être assuré par vos propres yeux.
Note 24: (retour)C'est ainsi que l'on traduit généralement le titre du chef-d'oeuvre de Shéridan ( School for Scandal ), mais le sens est l'École de la Calomnie .
Note 25: (retour)Comédie de Mrs. Centlivre. ( Notes du Trad. )
»Vous parlez de raffinement : – Êtes-vous tous plus moraux? êtes-vous aussi moraux? Pas du tout. Je sais, moi , ce que c'est que le monde en Angleterre, pour avoir connu moi-même, par expérience, le meilleur, – du moins le plus élevé; et je l'ai peint partout comme on le trouve en tous lieux.
»Mais revenons. J'aimerais à voir les épreuves de ma réponse, parce qu'il y aura quelque chose à retrancher ou à changer. Mais, je vous en prie, faites-la imprimer avec soin. Répondez-moi, quand vous le pourrez commodément. Tout à vous.»
LETTRE CCCLXVI
Ravenne, 31 mars 1820.
.............................
«Ravenne continue le même train que je vous ai déjà décrit. Conversazioni durant tout le carême, et beaucoup plus agréables qu'à Venise. Il y a de petits jeux de hasard, c'est-à-dire le faro , où l'on ne peut mettre plus d'un schelling ou deux, – des tables pour d'autres jeux de cartes, et autant de caquet et de café qu'il vous plaît; tout le monde fait et dit ce qu'il lui plaît, et je ne me rappelle aucun événement désagréable, si ce n'est d'avoir été trois fois faussement accusé de boutade, et une fois volé de six pièces de six pence par un noble de la ville, un comte-. Je ne soupçonnai pas l'illustre délinquant; mais la comtesse V- et le marquis L- m'en avertirent directement, et me dirent que c'était une habitude qu'il avait de gripper l'argent quand il en voyait devant lui: mais je ne l' actionnai pas pour le remboursement, je me contentai de lui dire que s'il recommençait, je préviendrais moi-même la loi.
»Il doit y avoir un théâtre en avril et une foire, et un opéra, – puis un autre opéra en juin, outre le beau tems, don de la nature, et les promenades à cheval dans la forêt de pins. Mes respects les plus plus profonds à Mrs. Hoppner, et croyez-moi, etc.
» P. S. Pourriez-vous me donner une note de ce qui reste de livres à Venise? Je n'en ai pas besoin, mais je veux savoir si le peu qui ne sont pas ici sont là-bas, et n'ont pas été perdus en route. J'espère, et j'aime à croire que vous avez reçu votre vin en bon état, et qu'il est buvable. Allégra est, je crois, plus jolie, mais aussi obstinée qu'une mule et aussi goulue qu'un vautour. Sa santé est bonne, à en juger par son teint, – son caractère tolérable, sauf la vanité et l'entêtement. Elle se croit belle, et veut tout faire comme il lui plaît.»
LETTRE CCCLVII
Ravenne, 9 avril 1820.
«Au nom de tous les diables de l'imprimerie, pourquoi n'avez-vous pas accusé réception du second, troisième et quatrième paquets; savoir, de la traduction et du texte de Pulci, des poésies Dantiques 26, des observations, etc.? Vous oubliez que vous me laissez dans l'eau bouillante, jusqu'à ce que je sache si ces compositions sont arrivées, ou si je dois avoir l'ennui de les recopier...... ......
Note 26: (retour)Il y a dans le texte danticles , mot forgé par Byron pour désigner ses imitations et traductions du Dante: nous nous sommes permis une licence analogue. ( Note du Trad. )
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