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Jane Austen: Catherine Morland

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Jane Austen Catherine Morland

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Écrit en 1803, Catherine Morland (Northanger Abbey) est le premier roman de Jane Austen, même s'il n'a été publié qu'en 1818, un an après sa mort. La jeune et naïve Catherine Morland est invitée par des voisins de ses parents à passer quelques semaines à Bath. Là, elle se lie d'amitié avec la jeune et inconstante Isabelle Thorpe et son frère, le présomptuteux John qui se pose rapidement en prétendant de Catherine. Elle y rencontre également Henry Tilney et sa charmante soeur Eléonore. Catherine n'est pas insensible au charme de Henry. Aussi, quand le père d'Henry invite Catherine à passer quelques jours dans sa maison, elle est au comble du bonheur. D'autant plus que Catherine, très imprégnée par ses lectures de romans gothiques alors très à la mode, apprend que la demeure de M. Tilney est une ancienne abbaye: Northanger Abbey…

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Morland allégua des autorités: les plans, les hôteliers, les pierres milliaires. Mais son ami les dédaignait toutes. Il avait un meilleur critérium:

– Il y en a vingt-cinq! Je le sais par la durée du trajet. Il est maintenant une heure et demie; nous sommes sortis de la cour de l’hôtel à Tetbury, comme l’horloge de la ville marquait onze heures; et je mets au défi n’importe qui en Angleterre de faire faire à mon cheval attelé moins de dix milles à l’heure; cela fait juste vingt-cinq milles.

– Vous laissez tomber une heure, dit Morland. Il n’était que dix heures quand nous quittâmes Tetbury.

– Dix heures! Il était onze heures, sur mon âme! J’ai compté chaque coup. Votre frère voudrait faire croire que je suis un imbécile, miss Morland. Regardez ce cheval. De votre vie, avez-vous jamais vu animal si bien taillé en course? (Et le domestique faisait évoluer la bête.) Un pur sang! Trois heures et demie pour ne faire que vingt-trois milles! Mais regardez donc cet animal, et dites si cela vous semble possible.

– Il paraît avoir très chaud.

– Chaud! Pas un poil de dérangé quand nous sommes arrivés à l’église de Walcot! Regardez son poitrail, regardez ses reins! Tenez, regardez seulement comme il marche. Impossible que ce cheval fasse moins de dix milles à l’heure. Liez-lui les pattes et il filera. Que dites-vous de mon cabriolet, miss Morland? Il est bien, n’est-ce pas? Bien suspendu, dernière mode. Il y a à peine un mois que je l’ai. Il a été fait pour quelqu’un du Christchurch, un excellent gaillard de mes amis qui ne s’en est servi que quelques semaines. Je cherchais quelque chose de ce genre. À la vérité je me serais bien décidé pour un curricle, mais j’eus la chance de rencontrer l’ami sur le Magdalen Bridge, comme il roulait dans Oxford. «Hé! Thorpe, me dit-il, n’auriez-vous pas envie d’une petite chose comme celle-ci. Elle est de tout premier ordre, mais j’en suis bougrement fatigué. – Oh! cré nom! dis-je. Je suis votre homme; combien voulez-vous?» Et combien croyez-vous qu’il me demanda, miss Morland?

– Jamais je ne le devinerai…

– Cabriolet suspendu, vous voyez, siège, coffre, boîte à épées, garde-crotte, lanternes, etc., tout, vous voyez, complet; la ferrure aussi bonne que si elle était neuve, ou meilleure. Il demandait cinquante guinées; je fis marché avec lui aussitôt, lâchai la somme, et la voiture était à moi.

– Eh bien, ma foi, dit Catherine, je suis si peu au courant de ces choses, que je suis incapable de juger si c’est bon marché ou cher.

– Ni l’un ni l’autre. J’aurais pu l’avoir à moins, j’ose le dire. Mais j’exècre marchander, et le pauvre Freeman avait besoin d’argent.

– C’était bien, à vous, dit Catherine très touchée.

– Peuh!… Quand on a les moyens de rendre service à un ami, sans se gêner, cré nom! je déteste qu’on lésine.

Les jeunes gens demandèrent alors aux jeunes filles où elles allaient, et il fut décidé qu’ils les accompagneraient à Edgar’s Buildings et présenteraient leurs respects à M meThorpe. James et Isabelle ouvrirent la marche. Isabelle, enchantée, s’évertuait à rendre cette promenade agréable à son compagnon qui, double prestige, était l’ami de son frère et le frère de son amie. Ses sentiments étaient si sincères et si dénués de coquetterie, qu’ayant croisé, dans Milson Street, les deux audacieux jeunes hommes de tout à l’heure, elle ne se retourna sur eux que trois fois.

Il va sans dire que John Thorpe tint compagnie à Catherine et, après quelques minutes de silence, recommença à parler de son cabriolet.

– Vous conviendrez pourtant, miss Morland, que, tel quel, ce marché pouvait passer pour avantageux, car j’aurais pu revendre l’objet dix guinées de plus, dès le lendemain. Jackson, d’Oriel, m’en offrit du premier coup soixante. Morland était là.

– Oui, dit Morland qui saisit au vol cet appel à son témoignage, mais vous oubliez que le cheval était compris dans le marché.

– Mon cheval! cré nom! Je ne vendrais pas mon cheval pour cent guinées, cent! Aimez-vous aller en voiture découverte, miss Morland?

– Oui, beaucoup. J’ai rarement eu l’occasion d’aller en voiture découverte, mais j’aime cela.

– J’en suis heureux. Je vous promènerai tous les jours dans la mienne.

– Je vous remercie, dit évasivement Catherine, indécise sur l’accueil qu’il convenait de faire à cette invitation.

– Je vous conduirai demain au haut de la côte de Lansdown.

– Je vous remercie…, mais votre cheval n’aura-t-il pas besoin de repos?

– De repos! Il n’a fait que vingt-trois milles aujourd’hui. Allons donc! Rien n’abîme tant les chevaux que le repos; rien ne les éreinte aussi rapidement. Non, non; je ferai marcher le mien, en moyenne, quatre heures par jour, tant que je serai ici.

– Le ferez-vous? dit Catherine très sérieusement. Cela fera quarante milles par jour.

– Quarante? eh, cinquante! je m’en moque pas mal! Bon! Je vous conduirai demain au haut de la côte de Lansdown; comptez-y.

– Comme ce sera charmant, s’écria Isabelle en se retournant. Ma très chère Catherine, je vous envie. Mais, mon frère, je crains que vous n’ayez place pour une troisième personne.

– Une troisième, vraiment? Non, non. Je ne suis pas venu à Bath pour promener mes sœurs. Ce serait plaisant, ma foi! Que Morland s’occupe de vous!

Ce qui provoqua entre Isabelle et Morland un échange d’amabilités dont le détail échappa à Catherine. Cependant Thorpe, jusque-là si fertile en discours, était devenu laconique; ses propos se réduisaient maintenant à de brefs jugements sans appel – blâme ou approbation – sur la performance de chaque femme rencontrée. Catherine, après avoir écouté et acquiescé, aussi longtemps qu’elle put, avec la retenue d’une jeune fille qui craint d’émettre – surtout au sujet de la beauté des femmes – un avis personnel en opposition avec celui d’un homme si sûr de son fait, tenta de changer le sujet de la conversation par une question qu’elle refrénait depuis longtemps:

– Avez-vous lu Udolphe , monsieur Thorpe?

Udolphe ! oh, Seigneur, pas moi! Je ne lis jamais de romans: j’ai autre chose à faire.

Catherine, humiliée et honteuse, allait s’excuser de sa question, mais il la prévint en disant:

– Tous les romans sont un fatras d’absurdités. Il n’en est pas paru un seul, tolérable, depuis Tom Jones , excepté le Moine . J’ai lu ça l’autre jour. Mais les autres sont bien la plus stupide chose de la création.

– Je pense que vous aimeriez Udolphe , si vous consentiez à le lire. C’est si intéressant!

– Pas moi! sur ma parole! Non, si j’en lis, ce sont ceux de madame Radcliffe. Ses romans sont assez amusants. Ils valent d’être lus. Il y a là de quoi rire, et du naturel.

Udolphe est de madame Radcliffe, dit-elle avec une hésitation à la pensée qu’elle pouvait le mortifier.

– Non! Vrai? Est il…? Eh! je m’en souviens, en effet. Je pensais à cet autre livre stupide écrit par cette femme dont on a fait tant d’embarras et qui a épousé l’émigrant français [1]…

– Je suppose que vous voulez dire Camille .

– Oui, c’est ce livre-là. C’est plein d’absurdités! Un vieillard qui joue à la branloire!… Une fois je pris le premier volume et le parcourus. Je vis bientôt que ça n’irait pas; en vérité, je devinai tout de suite quelle drogue ce devait être; dès que je sus qu’elle avait épousé un émigrant, je fus certain de ne pouvoir aller jusqu’au bout.

– Je n’ai jamais lu ce livre.

– Vous n’avez rien perdu, je vous assure, c’est la plus horrible sottise que vous puissiez imaginer. Il n’y a rien du tout… qu’un vieillard qui joue à la branloire et qui apprend le latin. Sur mon âme il n’y a pas autre chose.

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