Francis Cabrel - Les paroles de 126 chansons
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Mieux que tous les palais de marbre
L'or des sultans
Quelques branchages qui nous gardent
Des mauvais vents
Je ferai tout ce qu'il te tarde
L'homme ou l'enfant
Dans nos jardins dérangés
Tellement de fleurs allongées, tellement
Sous la lumière orangée
Longtemps nos corps mélangés, longtemps
Rien qui mérite qu'on en parle
Rien d'inquiétant
Un miroir pour que tu te fardes
Je t'aime pourtant
Plus personne ne nous regarde
Ni ne nous entend…
Dans nos jardins dérangés
Tellement de fleurs allongées, tellement
Sous la lumière orangée
Longtemps nos corps mélangés, longtemps
Pendant que le monde bavarde
A rien d'important
On pourrait dormir sous les arbres
Le reste du temps…
Le temps s'en allait
Paroles et Musique: Francis Cabrel 1983 "Quelqu'un de l'intérieur"
Ce matin j'ai joué aux billes
J'ai couru les filles
Et j'ai pris tout mon temps
J'ai accroché mon cœur
Aux épines des fleurs
Et j'ai gagné souvent
Ce soir, je pousse de ma canne
Les feuilles des platanes
Sous les bancs de ciment
Dans les odeurs de cigare
Et le bruit des guitares
De mes petits enfants
Je courais, je courais, je courais, je courais
Et le temps s'en allait
Je courais, je courais, je courais…
Et tout le temps que je passe
Assis à la même place
Juste à bouger les yeux
Avec mes vieilles rengaines
Et mon écharpe de laine
Même quand le ciel est tout bleu
Toujours la voix qui s'embrume
La crainte du rhume
Ou le bruit des avions
Et dans le froid qui s'approche
J'ai peur que les cloches
Chantent bientôt mon prénom
Je courais, je courais, je courais, je courais
Et le temps s'en allait
Je courais, je courais, je courais…
Toi, mon enfant que j'aime,
Toi qui a tant de peine
Assieds toi un moment
Quels que soient ceux qui te quittent
Dis-toi que le temps passe vite
Et que la poussière t'attend
Tu vois ces bras de misère
Ont fait le tour de la terre
Pour une fille de chez nous
Ils ont fait sauter les tables
Et des plages de sable
Et des hordes de loups
On était tellement bien
On était tellement loin
Qu'on était presque perdus
On était tellement haut
Et tellement beaux
Qu'on ne se reconnaît plus
On courait, on courait, on courait, on courait
Et le temps s'en allait…
On courait, on courait, on courait…
Ce matin j'ai joué aux bille,
J'ai couru les filles
Et j'ai pris tout mon temps
J'ai accroché mon cœur
Aux épines des fleurs
Et j'ai gagné souvent
Ce soir, j'ai plus de problèmes
Tout le monde m'aime
Mais c'est pas pareil qu'avant…
Parce qu'il y a le bout de ma canne
Les feuilles des platanes
Et c'est l'automne tout le temps
Parce qu'il y a le bout de ma canne
Les feuilles des platanes
Et c'est l'automne tout le temps
Toi mon enfant que j'aime…
Leïla et les chasseurs
Paroles et Musique: Francis Cabrel 1983 "Quelqu'un de l'intérieur"
Leïla, si tu savais les yeux qu'elle a
Quand elle voit s'approcher les chasseurs
Leïla, si tu savais les yeux qu'elle a
Quand elle voit s'approcher les chasseurs
Pas la peine de mentir
Leïla sait ce que veut dire
Ce feu sous les paupières blanches
Qui fixe le dessous de ses hanches
Des mots humides de pluie
Qui meurent aussitôt dits
Des corps tendus immobiles
Après les éclairs faciles
Leïla, elle les connaît trop
Faux nez et faux numéros
Même par terre même morts
Et quand même les plus forts
Les phrases pleines de détours
Qui craignent la lumière du jour
Ils cachent tous quelque chose
Ils chassent tous quelque chose
Leïla, si tu savais les yeux qu'elle a
Quand elle voit s'approcher les chasseurs
Leïla, si tu savais les yeux qu'elle a
Quand elle voit s'approcher les chasseurs
Y a ceux qui pleurent de joie
En ajoutant une croix
Ceux qui l'aiment à tout jamais
Qui ont un avion juste après
Ceux qui ont des barques sur la Seine
Trop loin pour que je t'y emmène
Ceux qui ont de l'or plein les châteaux
Ceux qui ont des ports pleins de bateaux
Ils parlent tellement fort
Ils sont tellement nombreux
Qu'un soir de fatigue elle s'endort
Contre la peau de l'un d'eux
Pour peu qu'il soit d'une autre sorte
Un peu moins menteur que les autres
Elle aura le gris du matin
Et les fleurs du papier peint
Leïla si tu savais les yeux qu'elle a
Quand elle voit s'approcher les chasseurs
Leïla, si tu savais les yeux qu'elle a
Quand elle voit s'approcher les chasseurs, les chasseurs
Leïla n'y peut pas grand chose
Si elle a la fraîcheur des roses
Elle est la cible de vos flèches
Mais c'est pas vous qu'elle cherche
Elle rêve d'un fragile, d'un fou
Qui l'embrasse au quinzième rendez-vous
Qui tremble en lui prenant la main
Et surtout qui ne dise rien
Leïla, elle les connaît trop
Faux nez et faux numéros
Même par terre même morts
Et quand même les plus forts
Ils cachent tous quelque chose
Ils chassent tous quelque chose
Les cardinaux en costume
Paroles et Musique: Francis Cabrel 2008 "Des roses et des orties"
Magyd dort dans la lumière,
Celle des phares et du périph'
Une joue contre la terre
Une main sur son canif
Qu'un homme dorme sur le bitume
Ca n'a pas l'air d'inquiéter
Les cardinaux en costume
Derrière les vitres teintées
Et Sabrina qui se cache
Et qui espère autre chose pour sa fille
Que cet argent qu'elle arrache
Des mains de ceux qui la déshabillent
Elle augmente le volume
Pour ne pas savoir qui ils sont
Des cardinaux en costume
Et des donneurs de leçons
Que vida! Que triste!
De que pais se trata
Del mio? no!
Del mio no se puede!
Que vida! Que triste!
Et Mamadou qu'on transfère
A l'arrière de l'avion
Vers un endroit que la terre
Qu'il ne connaît que de nom
Lui, léger comme une plume
Malheureux comme un enfant
Les cardinaux en costume
Sur les sièges de devant
N'Guyen, la clandestine,
D'elle on n'a aucune trace
Venue coudre à la machine
Celle qui tombe, on la remplace
C'est pour du potage qui fume
C'est payé au rendement
Pour les robes et les costumes
Des cardinaux impatients
Que Vida!
N'Guyen, la clandestine,
Et Mamadou qu'on transfère
Et Sabrina qui tapine
Et ce Magyd qui dort par terre
Quand la salle se rallume
Le monde sort en silence
Les cardinaux en costume
N'étaient pas à la séance
Les chemins de traverse
Paroles et Musique: Francis Cabrel 1979 "Les chemins de traverse"
Moi je marchais les yeux par terre
Toi t'avais toujours le nez en l'air
Et c'est comme a qu'on s'est connu
On avait chacun sa guitare
On était pas loin d'une gare
C'est la hasard qui l'a voulu
Et tu m'as dit, quand leurs ailes sont mortes
Les papillons vont où le vent les porte
On a pris le premier chemin venu
Et quand la nuit est tombée
Sur la voie ferrée
On était bien loin de la ville
On entendait que des notes
Et le bruit de nos bottes
Sous la pleine lune immobile
On a traversé les semaines
Comme de vraies fêtes foraines
Sans même penser au retour
On s'est perdu dans les nuages
Comme les oiseaux de passage
À suivre les filles d'un jour
Et pour ne pas que les fous nous renversent
On prenait les chemins de traverse
Même s'il ne sont jamais les plus courts
Et quand la nuit tombait
Sur la voie ferrée
On était bien loin de la ville
On entendait que des notes
Et le bruit de nos bottes
Sous la pleine lune immobile
Mais quelquefois je me souviens
Ceux qui nous ont lâché les chiens
Et jeté des pierres au visage
Ils n'ont rien empêché quand même
Puisque le seul métier qu'on aime
C'est la bohème et le voyage
Et quand la nuit va tomber
Sur la voie ferrée
On sera bien loin de la ville
On entendra que des notes
Et le bruit de nos bottes
Sous la pleine lune immobile
Et quand la nuit va tomber
Sur la voie ferrée
On sera bien loin de la ville
On entendra que des notes
Et le bruit de nos bottes
Sous la pleine lune immobile
Sous la pleine lune immobile
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