Stephen King - Fin de ronde

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Dans la chambre 217 de l’hôpital Kiner Memorial, Brady Hartsfield, alias Mr Mercedes, gît dans un état végétatif depuis sept ans, soumis aux expérimentations du docteur Babineau.
Mais derrière son rictus douloureux et son regard fixe, Brady est bien vivant. Et capable de commettre un nouveau carnage sans même quitter son lit. Sa première pensée est pour Bill Hodges, son plus vieil ennemi…
STEPHEN KING
« Après
et
les fans de Stephen King trouveront dans ce mélange de suspense et d’horreur la conclusion parfaite à la trilogie de l’inspecteur Hodges. »
Publishers Weekly

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« C’est parfait, Kerm. Merci.

— Est-ce que les corps ont été transportés ?

— En route pour la morgue au moment où je te parle, mais Izzy a tous les clichés sur son iPad. »

Il parle d’Isabelle Jaynes, sa coéquipière depuis que Hodges a pris sa retraite.

« OK. Je te rapporte un éclair.

— Y a déjà toute une boulangerie, ici. T’es où, d’ailleurs ?

— Nulle part d’important. J’arrive le plus vite possible. »

Hodges raccroche et se dépêche de longer le couloir jusqu’à l’ascenseur.

3

Le patient de huit heures quarante-cinq du D r Stamos ressort enfin de la salle de consultation du fond. Le rendez-vous de M. Hodges était à neuf heures et il est neuf heures trente. Le pauvre homme a probablement hâte d’en avoir fini avec tout ça et de continuer le reste de sa journée. Marlee regarde vers le couloir et voit Hodges parler au téléphone.

Elle se lève et jette un coup d’œil dans le cabinet du D r Stamos. Il est assis à son bureau avec un dossier ouvert devant lui. KERMIT WILLIAM HODGESest imprimé sur l’onglet. Le médecin est en train d’étudier quelque chose dans le dossier tout en se massant les tempes, comme pour soulager une migraine.

« Docteur ? Est-ce que je fais entrer M. Hodges ? »

Il lève la tête, surpris, puis regarde l’heure à sa petite pendule de bureau.

« Mon Dieu, oui. C’est terrible, les lundis, hein ?

— Peut pas faire confiance aux lundis », dit-elle.

Puis elle se détourne pour partir.

« J’adore mon métier mais je déteste cette partie », dit Stamos.

C’est au tour de Marlee d’être surprise. Elle se retourne pour lui faire face.

« Peu importe. Je me parlais à moi-même. Faites-le entrer. Qu’on en finisse. »

Marlee tourne la tête juste à temps pour voir la porte de l’ascenseur se refermer tout au bout du couloir.

4

Hodges téléphone à Holly du parking couvert jouxtant le centre médical et, quand il arrive au Turner Building dans le bas de Marlborough Street, où est situé leur bureau, elle l’attend dehors, sa sacoche plantée entre ses confortables chaussures plates. Holly Gibney : bientôt la cinquantaine, plutôt grande et mince, cheveux bruns d’ordinaire tirés en un chignon serré à l’arrière de la tête, emmitouflée ce matin dans une parka North Face volumineuse, capuche relevée encadrant son petit visage. Visage quelconque au premier regard, pense Hodges. Jusqu’à ce que vous voyiez ses yeux, beaux et pleins d’intelligence. Mais vous risquiez de ne pas les voir pendant longtemps car Holly Gibney évite le contact visuel.

Hodges glisse sa Prius le long du trottoir et Holly saute en voiture, retirant ses gants et approchant ses mains des bouches d’air chaud côté passager.

« T’en as mis du temps.

— Quinze minutes. J’étais à l’autre bout de la ville. Je me suis tapé tous les feux rouges.

Dix-huit minutes, corrige-t-elle alors que Hodges redémarre. Parce que tu as roulé trop vite, ce qui est contre-productif. Si tu gardes une vitesse d’exactement trente kilomètres-heures, tu peux avoir pratiquement tous les feux verts. Ils sont minutés. Je te l’ai déjà dit. Maintenant raconte-moi ton rendez-vous chez le médecin. Tu as eu tes examens avec mention ? »

Hodges réfléchit aux possibilités qui s’offrent à lui, seulement deux, en réalité : dire la vérité ou improviser. C’était Holly qui l’avait tanné pour qu’il aille consulter à cause de ses problèmes d’estomac. Une simple gêne au début, de la douleur maintenant. Holly a beau avoir des troubles de la personnalité, elle sait très bien arriver à ses fins. Comme un chien avec un os, se dit parfois Hodges.

« Les résultats ne sont pas encore arrivés. »

Ce qui n’est pas tout à fait un mensonge, se dit-il, parce qu’ils ne sont pas encore arrivés jusqu’à moi.

Holly le regarde d’un air sceptique alors qu’il débouche sur le périphérique. Hodges déteste quand elle le regarde comme ça.

« Je m’en occupe, dit-il. Fais-moi confiance.

— Je te fais confiance, dit-elle. Je te fais confiance, Bill. »

Ce qui le fait se sentir encore plus morveux.

Elle se penche en avant, ouvre sa sacoche et en sort son iPad.

« J’ai fait quelques recherches en t’attendant. Tu veux que je te dise ?

— Vas-y, balance.

— Martine Stover avait cinquante ans quand Brady l’a estropiée, ce qui fait qu’elle a cinquante-six ans aujourd’hui. Elle pourrait en avoir cinquante-sept mais comme on est seulement en janvier, je me dis que c’est très peu probable, pas toi ?

— Il y a peu de chances, en effet.

— Au moment du City Center, elle vivait avec sa mère dans Sycamore Street. Pas loin de Brady Hartsfield et sa mère, ce qui est plutôt ironique quand on y pense. »

Pas très loin non plus de Tom Saubers et sa famille, songe Hodges. Lui et Holly avaient été mêlés à une affaire impliquant les Saubers il n’y avait pas si longtemps, une affaire également en lien avec ce que le journal local s’était mis à appeler le Massacre du City Center. Il existait tout un tas de liens, quand on y pensait, le plus étrange étant peut-être que la voiture utilisée par Hartsfield comme arme du crime appartenait à la cousine de Holly.

« Comment une vieille dame et sa fille gravement handicapée ont-elles pu emménager à Ridgedale ?

— Grâce à l’argent de l’assurance. Martine Stover n’avait pas seulement une ou deux grosses polices d’assurance, mais trois. C’était une fana de l’assurance. »

Hodges trouve qu’il n’y a que Holly pour dire ça d’un ton approbateur.

« Il y a eu plusieurs articles sur elle ensuite, parce que c’était la plus grièvement blessée de tous les survivants. Elle disait qu’elle savait que si elle ne décrochait pas de boulot au City Center, elle devrait commencer à encaisser ses assurances une à une. Faut dire que c’était une femme célibataire avec à sa charge une mère veuve et sans emploi.

— Qui a fini par prendre la relève. »

Holly hoche la tête.

« Oui, très étrange, très triste. Mais au moins elles avaient un filet de sécurité financier, c’est le but d’une assurance. Elles se sont même élevées dans le monde.

— Oui, dit Hodges. Mais maintenant, elles l’ont quitté. »

À ça, Holly ne trouve rien à répondre. Ils arrivent au niveau de la sortie Ridgedale. Hodges la prend.

5

Pete Huntley a pris du poids — son ventre déborde de son pantalon — mais Isabelle Jaynes est plus époustouflante que jamais dans son jean moulant délavé et son blazer bleu. Ses yeux gris ténébreux vont de Hodges à Holly puis reviennent sur Hodges.

« Tu as maigri », dit-elle.

Ce pourrait être un compliment aussi bien qu’une accusation.

« Il a des problèmes d’estomac, dit Holly. Il est allé faire des examens et les résultats devaient arriver aujourd’hui mais…

— Parlons d’autre chose, Hol, la coupe Hodges. On est pas en consultation, là.

— Vous ressemblez de plus en plus à un vieux couple, vous deux », dit Izzy.

Holly répond d’un ton pragmatique :

« La vie de couple gâcherait notre entente professionnelle. »

Pete rigole et Holly lui jette un regard perplexe alors qu’ils franchissent le seuil de la maison.

C’est une magnifique demeure de style Cape Cod, et bien qu’elle soit située au sommet d’une colline et que ce soit l’hiver, il fait bien chaud à l’intérieur. Dans l’entrée, tous les quatre enfilent une fine paire de gants en caoutchouc et des surchaussures. C’est fou comme tout revient, pense Hodges. Comme si j’étais jamais parti.

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